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Dernier Arrêt

Chapitre 2 Seconde partie

Nombre de mots : 1093    |    Mis à jour : 11/06/2021

n réalité ce que je voulais était vraiment descendre. Après tout, si je me trouvais ici, il devait bien y avoir une raison,

Les gens dans cet endroit semblaient presque ne pas me voir, c'est ainsi que j'étais arrivé à deux

is dans un cercle vicieux, ne sachant pas où était ma place dans ce monde en perpétuel changement, indifférent à mon sort. Il n'y avait personne pour s'arrêter, m'adres

ôté de moi, avoir un ami avec qui je pou

ait des regards indifférents. Il y avait aussi une fille assise près de lui. Elle lui parlait chaleureusement, chercha

i pour moi ! Malgré tout, même le contact d'une personne aussi froide me manquait, les secondes semblaient des heures e

ne de pilotage. C'était presque ironique que je n'ai pas pensé à m'y rendre plus tôt... Quand j'entrai, plutôt que de recevoir les injures d'un conducteur furieux, je ne vis rien du tout. Pas le moindre si

nsistait simplement à attendre que ce fichu métro s'arrête. J'étais l'acteur malgré moi d'un scénario angoissant dont je n'avais pas la moindre idée du dénouement. Devant moi, je voy

, les voix des passagers pressés s'étaient murées. Et curieusement je n'entendais que le son de ma propre respiration, de mon coeur tamb

que passager, de toutes ces personnes qui, quelques minutes plus tôt, ne semblaient pas avoir remarqué mon existence. J'avançai lentement dans les rangées pour regagner

ontrairement à toute à l'heure, il discutait joyeusement avec la fille près de lui, il lui avait pris la main et caressait distraitement du bout des doigts le poignet

e me demander : "Vous ne descendez pas ?", "Ce n'est pas mon arrêt", lui répondis-je gentillement, content qu'on m'adresse la parole. La femme prit un air étonné avant de renchérir : "En êtes-vous certain ? Je crois bien qu'il n'y a plus d

t reprendre le cours de ma vie. Je ne pouvais pas avoir écouté quelques fines inscriptions sur un morceau de papier rapiécé pour en arriver là. Personne ne m'attendait sur le quai vide. Pas une femme po

pas remarqué plus tôt pour la simple et bonne raison qu'il n'était pas là avant, j'en aurais mis ma main à couper. Lui aussi m'observait, il était vêtu d'un jean aussi sombre que son sweat noir, une capuche lui tombant sur le

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