LA VIERGE ET LE VÖYOU
gner sa chambre. Il lui a fallu tout ce temps pour rassembler ses pensées et son
, fixant la porte fissurée par laquelle
s'était enfuie de la bibliothèque après
n'y compr
t-il de s
chevauchait et le montait comme un cheval de course Tattersalls. Elle prenait son plaisir sans rien exiger de lui, enfin, à part son corps. Son corps tout ha
s, peut-être ? Cela ne l'
un an et était très bien avec son statut. Il n'était pa
e souvenait à peine de la dernière femme à avoir partagé so
vait pensé que
ertaine femme avait chan
n face de lui à la table du dîner n'avait pas piqué son intérêt – du moins pas de façon charnelle. Elle avait à peine parlé, et quand elle avait ouvert la bo
s'était
t pour admirer les dégâts qu'elle avait fait à son gil
éature déroutante
nsées étaient vivantes avec elle. . . tout comme sa bite. Il se baissa pour s'ajuster. Cela n'a servi à rien.
le dérouter, mais
rtait pa
ant de fièvre. La chambre était encore sombre. Elle glissa de son lit et marcha pieds nus jusqu'à la fenêtre. Séparant les r
haleta, agrippant le cadre de
! Pas
ue sa rencontre avec Kingston ne lui avait accordé qu'un sursis. Cette libération fracassante ne l'avait
n pour l'aider. Le battement était si intense. La chaleur lui a donné e
ét
billa rapidement et fouilla dans le fond de sa garde-robe pour une de ses robes simples. L'une des robes unies qu'elle pos
serpent à travers elle), elle s'enfuit de la maison, partant par les escaliers arrière des domestiques. Heureusement, non
'à ce qu'elle pénètre dans le bosquet de bois entourant la propriété de son beau-frère. Ses jambes s'a
connaissait chaque parcelle de Brambledon et des environs.
e. Ses pieds la menèrent jusqu'au chemin
ut cela ne lui appartenait. C'était celui de Nathaniel et maint
Elle dut ralentir et faire attention à ses pas dans la pente assez abrupte qui menait aux rives de l'étang. Elle n'a
bien l'étang. Avec la sensation fraîche de l'eau croustillante sur sa peau, avec la mousse douce
es, correspondant au battement pr
? Et si sa sœur l'avait e
t simplement besoin de temps pour suivre son cours. Comm
gence, elle se força à faire une pause et à jeter un coup d'œil autour
ités alors qu'elle enlevait sa robe et la jeta par-dessus un buisson voisin. El
bérée de ses vêtements. Sa peau échauff
rres et de cailloux sous la plante de ses pieds était vraiment agréable -
se précipita jusqu'à sa taille puis plongea le reste du c
tête, l'eau fraîche clapotait délicieusement sur son
e les a pas entiè
u'elle étirait ses bras et fendait l'eau, se sentant aussi libre qu'une sirène. Au moins, elle
upposa-t-elle. Nager
comportement. Pas même ses sœurs. Ils ne le diraient jamais,
'appartenait qu'à elle. En plus de ce q
moins il y avait ça. Elle n'aurait pas
yer à ses côtés en mouvements rythmés. Fermant les yeux, elle ignora la douleur qui
s seins nus. L'air circulait sur sa poitrine, r
le sut qu'elle devrait bientôt partir et rentrer chez elle
pas une héroïne audacieus
avait jamais aspiré. Autant elle les admirait, autant elle ne les enviait
e cet étang, elle se sentait décadente et libre. Pour
udrait que
pour cause de maladie, on s'attendrait à ce qu'elle parte. Billy et sa famil
un sourire sur son visage, tous les
ront, sa respiration encore beaucoup trop laborieuse pour un homme qui devrai
ette
Après que Charlotte Langley l'ait si compl
la première fois dans sa chambre il y a quelques heures. Le somme
bruit de mouvemen
e de
de de roulement apparte
ent en phase avec elle. Ses narines se dilatèrent et ses pores
'elle était quelqu'un qui gardait les heures tardives. E
quelques privilégiés - le duc et sa femme et les sœurs Langley. La liste était courte. Il ne s'attendait pas à s'y retrouver. Ce n'était certainement pas l'œuvre de son demi-frère. Si cela n'avait ten
a. Elle se dépla
rester en place
rapidement, déterminé à la suivre et
qu'il étai
regard vitreux aux yeux hagards qui semblait aller au-delà de la passion de leur liaison. Il ne pouvait p
l'alerta qu'elle avait déménagé en bas. Il descendit, marchant dans le couloir et c
bruyants. Quand il sortit, il repéra un éclair de sa robe pâle au
lait-
un bosquet épais jusqu'à un étang. Il s'avança prudemment sur
curité d'avant l'aube, il était couvert par l'ombre de plusie
lqu'un ? Son fiancé
and poids pesait sur lui. Il frotta le centre de sa poitrine, espérant
sentait mûre et souple entre ses mains et b
e ce qu'elle faisait n'avait aucune importance pour lui
eau l'arrêta. Se retournant,
sonné dans
ontrés avec tant d'empressement plus tôt maintenant perchés et flottant
chit manquait de déco
mais été aussi i
le avait l'air si paisible, flottant
fit rien qui indiquât qu'elle était au courant de sa présence.
En la regardant, un petit sourire retroussa ses lèvres. Dérivant dans l'eau comme un
uit lui sembl
ensuel, son corps le chevauchant avec une vigueur affamée. . . Peut-être tout était
r
les impulsions pouvaient être sui
'elle ne correspondait à son souvenir de l
l'avait rejetée comme on le ferait avec le papier peint d'une pièce. Quelque chose qui existait. . . quelque chos
ait pas l'oublier. Pas la sens
as cette
e. L'eau l'attirait, le tentant –
nvitation expresse. Le faire me semblait vaguement prédateur. . . plonger dans un étang occupé par une femme nue sans méfiance
ait que renforcer cela. Elle avait suscité son intérêt. Son inté
er une telle tournu
re la réponse à
. . . moins perdu. Il voulait redevenir lui-même – vivre dans l'insouciance et la l
sait longtemps qu'il n'avai
à présent et sans vêtements. Ce n'était pas un garçon vert. Il avait déjà vu beaucoup de femmes nues. La vue ne
vivre cet éveil. . . ce devait être une parente
de lui, toujours sur le dos, flottant toujours à la surfa
uche
é et il commençait à peine à s'en apercevo
nants de désir prêts à bouillir sur lui. Des femelles minces et vaporeuses qui
nent. Dawn serait bientôt là. Les gens seraient sur leur journée. Peut-être pas ici dans ce vallo
tte fois qu'elle l'entendit. "Je ne savais pas
a d'un ton égal, ne reflétant