Mariée Avec Mon Farou Rap ( Le mystère des amants surnaturels)
pit
vec Mon
me pas me donner à
donc nous sommes dans l'obligation de te mari
bat dans la maison ma tante avait fin
dais comment pouvait-ils me forcée à un mariage ? surtout avec une membre de
rier de grès ou de
e n'était plus la maison que je considérais mon havre de paix cette maison où régnait le bonheurs , le rires , le partage elle était transformé en une d
s cris de mon père qui me mena
e pas ce que je travaillai
me vous
lais voir personne vous êtes sourdes ou quoi cria
elle a dit que
it rien fait elle était victime de mes mauvaises humeurs elle ne méritait pas que je la c
lots je ne pouvais plus m'arrêter je pleurais pour mes souffrances je pleurais pour mes paroles déplacées je pleurais de la pers
r mais je ne pouvais sortir aucunes mots de ma b
se bousculaient dans ma cervelet les battements de mon cœur s'étaient accélérée je m'en rencontre à ce moment précis que je n'étais pas tout à fait guérie vue les battements désordonné dans mon cœur à la vue
uprès de ma secrétaire qui ressortit dès l'instant sûreme
llement de ressentir encore cela je referma mes yeux pour mieux me contrôler mais les réouvris dès l'instan
Ousmane ? demandai-je e
ler je peu
le faire car on
te plaît peut-être toi tu n
i assez reçu venant de toi sort de mon bureau ou j'appell
souffle sur mon visage mon Dieu ce homme avait tel
ou je t'aime
étaient transformés en pleure il se rapprocha de moi me pris dans ses bras et je me laissa faire il me caressait le dos et je me cal
ort d'ici dis-je le
t'expliquer la t
numéro tu me passes un appel là en
t'appellerai c
é notre couple on formaient une vrai symbiose mais il y'avait des larmes qui ne cessait jamais de couler des vides qui se se comblaient jamais des souvenirs qui
ture direction chez ma grande sœur Tabara je retrouva ses jume
tes sorcières où
vrai cachotiere en plus de ça elles aimaient trop gaspiller au mêm
illes sorcières reclama t'
non elles sont de vrais sorc
sont mieux que toi qu
que fois que cette sentiment me hantait je m'isolait donc je me rendis à la mer en particulier celle de la corniche où je marchais à pieds nus sac et chaussures à la main je fermais les yeux espérant que mes douleurs , mes souffrances s'envolent avec qu'il l'emporte loin de moi à cette époque je croyais que je détenais une lac ou une fleuve en moi vue que mes larmes menaçaient de sortir jusqu'à ce que je sentis une main me tenir et un corps se tenant devants moi une p
de me calmer à cette instant je me sentais seule dans ma bulle car cett
is partie chez toi mais sur le point d'entré j'ai vue Tabara et ta mère ressortir et m'ont dit qu'elles étaie
ortement de se
nsi et qui t'a donné l'auto
ment on voyait personnes vue
ne répondais pas à mes appels et je
d mes mauvaise
ecoeurait le plus c'était que tu sois partie me laissant sans explications ni rien et je me demande même Qu'est-ce-qui explique une telle acte de barbarie ? abandonné une femme à la vei
on erreur n'oublie pas que c'est en fessant des erreurs qu'on apprend j'ai appris à ne pas croire aux premiers paroles car avant la veille de not
je en m'arrêtant en lui fes
mais ça n'a p
chose ça n'a plus d'importance
tic qui montrait
tu avais que tu a
fou je crois et toi tu m'a vraiment déçue à ce moment où était passé toutes tes promesses que tu m'avais dit que tu allais toujours me protéger me défendre où est passé l'amour que tu es entrain de me crier un homme qui
rreurs qu'on finit par trouver la bonne voie et c'est cette e
ne pas trop s'attarder sur ce débat
uver que je t'aime pl
ossible répondis-je en tourn
se redonner une chance afin de vivre pleinement notre amour je te donne
tu m'avais dit il
emps de rediscuter si tu acceptes mon invitation car je vois que ton télé
s devancée il avait préféré laissé sa
la glace j'en croyais pas à mes yeux c'était une surprise mon père qui n'avait jamais frappé à ces filles nous disant personne au monde n'avaient le droit de l
son et il y'a des règles à respecter je n'accepterai plus une attitude de manque de respect ou d'i
ne hurl
tenant la bouche dépassé p
de mon père non mon papa à moi je voyais ma mère et Tabara parlaient des choses que je ne pou
ordonnées je n'avais jamais sue qui m'avait ramené quelques minutes plus tard je m'étais ressaisie mais je n'arrivais pas à pleurer pa
s même à m'y habituer mais mon travail et mes agents étaient ceux qui pa
partout j'étais pas la Ouseynatou Kane qu'on connaissait douce souriante généreuse je n'étais
ne m'avait jamais plus adressée la parole même si quelques
ie du passé il fallait vivre le moment présent je le revoyait le lendemain soite avec des bouquets de fleurs des tablettes de chocolat ou des chips comme je l'ai adorait j'étais trop enfantar en tout il était au soin avec moi défois je
me rappelle lorsqu'elle éclatait en sanglots devant moi après l'
s produit dans notre maison accepte ton sort et tu te fera soigner tu as vue combien on me pointait du doigt quand vou
utôt que des filles bien vrai qu'elle en voulais mais c'était pas elle qui désignait le sexe de son enfant mais le plus haut qui décide vraiment je ne comprends pas notre société tous ce que tu fais o
ut faire la femme aussi peut le faire combien de femmes sont dans les garages dans l'automobile dans l'immobilier et pourtant c'est le travail d'un homme mais cela nous importe ce qu'on croit c'est le travail il faut que la société arrête de juger les femmes qui enfante que
mon centre de vie elle ne méritait pas de récolter des pleures des souffrances après avoir tant fait pour nous dès lors vue