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Mon existence mon calvaire

Chapitre 3 03

Nombre de mots : 1412    |    Mis à jour : 05/11/2023

ENCE, MON

iso

lever, je ne voulais pas quitter ce en

me voir épanouie, être la femme qu'ils voulaient que je sois. Comment allais-je m'en sortir seule ? Me voilà à présent seule. J'ai toujours crains ce jour, même si je savais qu'il finirait par arriver un

lles nous tenons. Si seulement la mort pouvait nous avertir, les cho

on pendant que Tonton Jean rempl

ent dans la

peau de

! Je m'en veux tellement, mais si jamais je m'arrêtais j'irai en prison. Je perdrai mon travail, ma famille va souffrir. C'est déjà difficile d

je suis presque sûr q

prés

transport depuis bientôt 12 ans. je livre des marchandises partout où l'on m'envoie. Je revenais d'une livraison dans le port quand j'ai percuté cette

iser. Le trajet me prenait environ 30 minutes. Une fois à la maison, j'allais essayer d'oublie

papa pa

a, une ghanéenne de teint noir ébène, avec des formes à en faire baver tous hommes. Je l'ai connu lors d'une de mes livraison. Elle vendait des oranges au bord de la route chaque soir. J'allais acheter d

mon cou, et je me mis à la cha

! Donne moi ton sac

sse de 4ème, très intelligent. D'ailleurs, il

ton ! Où es

ans la cuisi

e. Chez moi, pas question de rester sans rien faire. Tou

Pru

t pas enc

vais voir ta maman. Vous a

ndèrent tou

ui

sayais tant bien que mal de dissimuler ce qui me préoccupait parce

e le plus beau di

!!! Bonne ar

! Sam ça va ? L

! On croise

i hein ! Alors ché

rachide ave

-je sans toi ? Hein ! Vie

me lassais jamais de cette femme, elle était toujou

des âmes sensibles

z l'hypoc

e vois pas avec les p

tu vas m'afficher de

latèrent

che, je serai au salon, dès qu

ord mon

peau d

trer pour goûter les merveilleux plats de ma maman. J'attendais m

pauvreté. Une fois mes compagnons là, on prit la route de notre banlieue. On formait un groupe de quatre. Il y avait Sandra, Fabrice, Kévin mon meilleur ami et moi. On était tous dans la même faculté. On emprunta la route qui passait près de la banque non loin du marché public. On marchait tout en riant et en causant quand mes yeux s'arrêtère

viner, tout était prêt

le qu

iden

peau de

tu veux que

'est bon, le vigile est

je passerai demain

is être seule, il y avait un paquet sur l

e prinçounette ››, il

trois dedans, ce cadeau me fit encore pleurer plus, j'avais mal de me retrouver seule

, je te souhaite tout ce qu'une mère peut souhaiter à son enfant. Je t'ai ouvert un compte. Il est à ton nom, tu iras voir M. Kodzon pour les pa

am

versais toutes les larmes de mon corps, je n'en revenais pas d'avoir perdu mes parents. Je me déshabillai et j'allai

ivr.

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