L'amour n'était pas au rendez-vous
Pauline s'était réve
llage. On se mettait au lit peu après le coucher du soleil, non sans a
aleur du feu de bois...n'empêche que le sommeil n'était pas difficile à
ée, avait ajusté le pagne au dessus de sa poitrine, prête à commencer un
cœur son oncle , depuis peu contremaître dans une plantation française , de lui avoir ramené un bout de matelas en mousse pour ad
avaient eu le courage de franchir les kilomètres boueux les séparant de la capitale, Libreville, pour enseigner la
.M.A.I.S...kaaa...hummm...humm...il n'enverrait ses enfants apprendre le " foulassi", la langue des blancs, puisqu'il n'en voyait pas l'utilité, son père s'était décidé ( en réa
ir fait une légère toilette, car à 15 ans, sa mère continuait à lui rappeler qu'elle était désormais une f
age et allait préparer le petit déjeuner de son père, composé essentiellement des restes du repas de la veille. Certains jours, on
asseroles qui seraient déposées sur la table , dressée par les femmes de la famille. En effet , les hommes qui traînaient au lit, démontrant ainsi publiquement leur affection à leur épouse éta
de leurs femme et de leurs filles et pour les femmes de la propreté de leurs casseroles. Le corps d
ême nom : Avome. Ce n'était pas étonnant, dans la tradition on avait coutume de donner aux enfants le nom d'un ancêtre féminin, dans ce cas
: Oyono, le contremaître français était le père d'Avome -Thérèse et l'aîné de la fratrie, ensuite venait Nguema, le père de Pauline et enfin Essame, le cadet et géniteur d'Avome- Tout-Court
rvir le repas à l' "abèè", elles déposèrent tour à tour
njour mognié, ma sœur,
e, comment ça
a soit venu passer quelques jours avec nous ,
ntente aussi, le matelas qu'il m'a
conversation, mais malgré tout, moi je demanderai à Oncle Oyono quand il r
i au
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ur la plupart des histoires d'amoureux, elles finirent le service et débarrasserent, suivie par la cohorte de leurs jeunes frères e