L'amour vaut cinq euros
de Sain
des brocanteurs s'étaient faites relativement tôt, les stands
ur les plus antiquaires, on avait vidé les maisons dans l'espoir de vendre
tracée. Évidemment, les cassettes n'étaient plus à la mode, mais il paraissait que celles-ci étaient encore recherchées par c
jà 8 h 30 et j'avais l'impression que j'étais le dernier à ne pas être en place. Je déballai
es potentiels clients quand j'entendis la voix d'un
s ça v
mais qu'est-ce que
ci tu es rentré dans le clan des sexagénaires tiens ! Il ne manquait plus qu
es pas si tôt ! D'ailleurs, tu tombes très bien ici. Je peux te demander de surveiller mon stand deux minutes, je vais voir ce qu'il y'a de pas mal car avec m
t mais nous étions toujours présents l'un pour l'autre pour nous dépanner. Bon bien évidemment, Marc n'avait ni connaissance des prix, ni des objets. Quoi,
vie des gens, déterminer à quelle génération ils appartenaient. Parfois, je pouvais me tromper
en ce moment en train de décuver de la soirée de la veille. À part moi qui traînais à c
des assiettes, de la grosse porcelaine. Des collections de CD, de DVD, quelques vinyles également... J'étais dans une parfaite brocante d'antiquaire. Mon stand exposé pouvait-il peut-être faire tache parmi tous ceux-là ? On retrouvait
je crois, le plus ressortissant de ma personnalité. Les boulangeries étaient ouvertes dès 7 h, si ce n'est pas même plus tôt. J'ai e
chocolat. Et j'entends d'ici les sudistes dire « non, c'est chocolatine ». Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas fait
rmandises telles que brioches et mes fameux croissants et pain-chocolatine. Juste derrière et si on s'approchait bien de la vitre, on pouvait y voir s'il restait encore quelques baguettes, bien utile en fin de journé