L'inattendu d'une rencontre
rnier mot. Elle ira travailler malgré que je ne suis pas d'accord. Tout ça à cause de ce Amir ! Je le déteste ! Le lende
ah a nour ! (Bonjour !) -Moi : Yallah douzou taklou ! (Allez venez manger !) On se met a table et déjeune tranquillement. -Moi : Papa tu veut qu'on sorte aujourd'hui ? Y a du soleil. -P : Non repose toi kizim (ma fille). T'en fait déjà beaucoup pour tes vieux parents. -Moi, en rigolant : Vous êtes pas vieux ! -M : Ell
beaucoup mon père parce que on est très attaché tout les deux et que je suis son seule enfant. -P : Je prie dieu que ce soit un vrai homme qui te traitera comme une reine. Je me lève et m'approche de lui pour lui embrasser le front. -Moi : Pas maintenant. Ce sera pas maintenant. Olala. Rien que d'y penser ça me met les larmes aux yeux. Le jour ou je devrais quitter cette maison et m'envoler de mes propres ailes...bon faut que j'arrête d'y penser tant que c'est pas maintenant. -Moi : Allez je te ramène tes médicaments j'arrive. Je vais chercher ses médicaments, il les boit normal. Et puis j'appelle mon oncle Hafiz qui est le frère de mon père, comme ça ils prennent un peu l'air dehors. -M : Benti, je vais allez rendre visite à la famille qui cherche une femme de ménage. -Moi : Je t'acco
message d'un numéro que je ne connais pas. «+336******** : Pourquoi tu réponds plus ? J'ai été obligé d'acheter une autre carte pour te parler ! Faut qu'on se voit !» C'est Kassim . Je rêve par contre wAllah je rêve. Il faut qu'on se voit, c'est ce qu'il a dit ? Je décide de lui répondre. Ca sert a rien de le bloquer, il pourra racheter une autre carte et reprendre mon numéro donc.. «Moi : Tu peux pas me foutre la paix ?! Faut que je te dise en quel langue que toi et moi c'est fini ?!» J'envoie le message et éteint mon téléphone. C'est bon je suis énervé là ! Vous êtes con ou quoi les mecs ?! Vous comprenez
ait) Moi : J'espère qu'il te feront pas galèrer ! -M, en rigolant : T'inquiète pas ma fille ! On rentre a la maison. Mon père et mon oncle sont rentrés et on leur annonce la nouvelle. Mon père la vérité i
i !) D'accord je la ferme. -M : Hafiz, ta une famille a nourrir toi aussi ! Je te remercie vraiment mais je suis en etat de travailler inshallah. Mon père ne prend pas part a la discussion. Ça me fait de la peine parce que je sais ce qu'il pense au fond de lui.
le. Je prends mon téléphone et regarde les messages que l'on m'a envoyé. «Eylül ❤️ : Neee ? (Quooiii ?) Mais comment ça se fait ?» Je lui réponds que c'est une longue histoire et que je lui expliquerai demain quand on se verra en cours. Je sors de la discussion et vois que Kassim m'a répondu. Ooff. «+336******** : Je m'en fiche ! Faut qu'on se voit c'est important ! Bref, de toute façon je te demande pas ton autorisation, on va se croiser t'in
la la journée se passe tranquillement, je vais pas vous détailler, vous savez ce que sont des cours. Et étant donné qu'il fait beau a la fin de la journée , on décide d'aller au parc avec Eylül, j'en profiterais pour tout lui raconter. ***** On est au parc assise. On a acheter des petits goûters parce que on avait vraiment très faim. -E : Hadi konus ! (Allez parle !) Je patiente depuis tout a l'heure mais la j'en peux plus ! Ca fais
loyer votre maman à domicile. C'est bien Mme ****** ? -Moi, en commençant à m'inquiéter : Oui c'est moi. Dites moi que tout va bien. -... : On a eu un petit problème. Votre maman a glisser par terre en passant un coup de serpillère. Elle refuse d'aller a l'hôpital. Mais pourtant elle n'arrive pas a marcher correctement. Est ce qu'il est possible de la récupérer et d'essayer de la convaincre d'aller a l'hôpital ? J'ouvre grand les yeux. Et je lache toutes les afffaires que j'ai dans mes mains dans le panier que je laisse d'ailleurs en plein milieu du magasin. Quand il s'agit de ma mère, je parle pas chinois. -Moi : J'arrive madame. Et je raccroche. Je démarre au quart de tour et vais devant la villa. Je me rappelle bien où elle était situé. En arrivant, ma mère est seule devant le portail. -Moi, en descendant de la voiture : Maman ?! Je vais vers elle. -Moi : Qu'est ce qu'il s'est passé ?! -M : Rien de grave benti (ma fille). J'ai juste glisser ! -Moi : Non t'a pas juste glisser maman ! La dame m'a dit que
asiment en bas des escaliers, il y avait quand même une certaine hauteur entre les escaliers et le sol. Vous allez devoir vous mettre en accident de travail. -M : Mais ma jambe va très bien ! -Médecin, en rigolant : Elle ira mieux quand on aura mis vos os en place