L'amour est inévitable
show! me déclare August qua
lève un sourcil interrogateur, et il commence à narrer le récit d'une sœur qui a piqué le mec de l'autre... le genre de truc qu'on voit dans les romans-savons. Quand je tourne mon regard avec curio
. explique Auguste, pointant de nouveau le jeune couple. Mais j'crois que ta cousine mijotait un truc pas très net, par
pés sur la route. Il arrive souvent que ma cousine "emprunte" les voitures de notre oyabun, pour son plaisir personnel... m
is furt
mm
re est demain,
et j'ai alors très envie de lui demander quand cessera-t-il enfin de vivre dans des hôtels. Depuis son divorce, il y a maintenant plus de treize ans, lorsque son ex-femme a obtenu la maison e
oit. Le rejet de son ex-femme lorsqu'elle a découvert ses
orte du bel hôtel luxueux, le Ritz Calrton, que lui ouvre un groom, les mains dans les poches. Auguste
u au Dragon d'or, ce qui aurai
. Mon père fut très clair après mon retour. Ce que je faisais lorsque j'étai
rouve depuis des générations, et où chac
à Londres, dans le club du Dragon d'or que je fréquentais, doit demeurer à Londres. Mon
Japon. Il faut dire que le club du Dragon D'or de Tokyo avait fermé ses
e tout d'abord des études à Oxford et par la suite j'y ai ouvert une franchise de l'entreprise familiale, le groupe Tanaka-Gumi... et je suis devenu un homme d'affaires très prospèr
s Jun était toujours au Japon, sous la tutelle de mon propre père et, âgé de 12 ans, il fréquentait même à présent une école privée... donc je revenais au pays chaque fois que j'en avais la chance pour être auprès de lu
avoir pris Jun avec moi, quand je
mon fils... il avait déjà sa propre vie, ses amis et il était très attaché à ses grands-parents. Il aurait été cruel de ma part de le déraciner ou de l'arracher à ma mère qui l'aime comme un fils pour l'emmener dans un pays qui lui ét
un des yakuza les plus dangereux au Japon et même à l'étranger... Quant à mon fils Jun, il n'était pas encore un Torpederos. Il n'avait pas encore retourné sa veste pour choisir u
il m'a volé mon bien le plus
me le paie
t le voyage au Japon pour une raison différente... J'avais même quitté la table de nég
ois, la vie de mon
ié et le corps meurtris... J'avais ressenti le besoin de lâcher la pression... de tordre le cou d'une certai
b du Dragon d'or, pour lâcher un peu la pression... valait mieux me trouver une victime consentante... p
esser
uer,
ère ne l'aur
même avec dix ans d'expérience déjà derrière la cravate. Donc j'avais en quelque sorte une exc
orciser toutes ces émotions qui m'assaillaient. J'étais déjà ce qu'on appelle un Shibari-Shi (un maitre du Shibari). Les soumises de type «Rope Bunny» (qui ra
ais besoin d'une partenaire qui pourrait
n attente d'un maitre est séparée par des barreaux en ba
longeais cette espèce de prison en bambou... et que
No Y
n «fait
onsable... La tentative de meurtre sur mon propre fils m'avait déjà laissé avec une boule d'émotio
mour et encore moins à l
étrangère m'est destinée. Qu'elle est la seule
ur
e méritais d
uit un mo
e sentiment m'envahissait et bientôt, il allait me
me paraissait pourtant tellement in
des tapis de sol, agenouillés, les mains sur ses genoux, paume vers le ciel... Sa posture ét
s vêtue d'une de ces ten
ement en satin noire avec des cordons sur les hanches de chaque côté. Ce petit ensemble pourrait passer aisément pour un bikini. Mais sur elle, et avec ce peign
aration entre nous, les barreaux en bambou... une toute petite marque de naissance au creux
tait ch
suivie d'une tresse en queue de poisson qui descendait jusqu'au creux de ses reins. Elle ne devait sans doute p
s donné pour agripper cette tresse et l'enrouler autour de ma main alors que je l'aur
yante que je portais sous ma veste kimono toute grande ouverte et que son regard menaçait sans arrêt de me déshabiller entièrement quand ses yeux se po
position des soumises. Un peu plus tôt, alors que je conversais avec mon mentor, j'avais aussi senti son regard sur moi, même si elle s'efforçait de
soumise idéale... Je me suis donc fait violence, bien décidé à ne pas la choisir... cette soumi
ervée aux soumises en attente d'un dom, tel un roi devant ses concubines, les toisant to
une «Rope-Bunny» qui aime bien les
sir qu'elle ressentirait à être retenue en laisse par des rangs de cordes enroulés autour de son joli
oute rouge, comme la débutante qu
n court instant lorsque mon regard a croisé celui de cette mystérieuse soumis
te aux petits éclats mielleux me paraissaient si limpides... oui... elle avait un regard si pur. Un regard qui reflétait la noi
. et les trucs bien... durs! Choisis
uj
it
mait