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De l'obscurité à la lumière de la foi

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1297    |    Mis à jour : 22/05/2023

a avait cette manie de venir dans son lit très souvent et

urait dû savoir que sa

Frédéric, ré

u réveille

e Célia dan

e a ell

a ou, allé dé

, pf

cé, et emmena Célia jusqu’à

re du vélo ? demanda-t-

en faire des choses, ta ma

dépêche-toi, il y a école aujourd’hui !

réparant les sacs et le goûter, elle semblait courir dans tous les

ena dans la salle de bai

llez, on se dépêche ! Change-t

pas à ouvrir les yeux maman,

te remettras au lit tous les

ns pas dans mon lit, je suis sû

it juste au coin de la rue, comment tu

ès-midi, et puis Célia n’avait jamais vraiment les pie

uire quand elle se déconnectait du monde. Et là, c’était Arthur qui l’amenait à l

tout remettre en place, et surtout à tout nettoyer, rien ne

le avait tout juste l

ps de se reposer, avec ell

habitude était redevenue clean comme par magie, tout sentait le parfum des produits d’

e goûter et a

rrivée de leur père avec im

orte de la maison, les éc

APA

rrosage du jardin afin d’enlever le su

s’allongea à même le sol dans la cuisine, C

an, on va rigoler

pas en m’allongeant pas ter

disait : « Eh ben, c’est

t ainsi, elle ne s’autorisait aucu

t lors de la période de « la coupe cannes » av

sortir, aller au restaurant, se faire un cinéma mais

lit conjugal, Monique remplissait son rôle de mère et remplissait tous

, mais leurs petites vies paisibles

dultes qui criaient depuis le coin de la rue, ils ne s’atten

e telle scène se produisait de

se regardèrent, se prirent dans leur br

utes ces bombes verbales projetées de la chambre au salon

our Célia, « papa

rent leurs deux enfants en état de choc à l’e

cture familiale avait volé en éclat. C’était une scène d

es, ils avaient compris

tout, ils avaient entendu les mots, perçu la co

e début de la fin, et le co

ieurs semaines elle tentait de di

e mettre, le fautif c’était lui et il ne

ien, je te jure ce n’est arri

cela fait des mois qu

jure q

eux plus t’entendre, les enfants

rment, ils doivent ê

re ! Prends tes affaires tu

ois vraiment que

on que tu restes là, ça

ique s’était enfermée dans sa chambre, Arthur tenait Cél

t divorce

s ça se dispute, ça ar

avaient repris leurs jeux habituels dans le jardin, le sourire de Célia était redevenu florissant sur

ic s’était installé dans

la dalle de béton n’avait pas encore revêtu son carrelage, Frédéric

, alors Frédéric leur fît croire que c’était à cause de ses r

la maison, préparait les repas, veillait aux devoir

inaient pas du tou

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