Cœur de Biker

V

irréel. Comment puis-je assister à ça sans rien faire ? Je regarde le cercueil entrer sous terre, mes amis auto

us stridents, j’ai envie de leur demander d’arrêter. D’ailleurs pourquoi est-ce qu’ils pleurent tous ? On enterre un cercueil vide. Il n’y a personne dans cette prison de bois. Le pire est qu’ils attendent tous de moi que je pleure aussi, que le président des

n meilleur ami, alors je m’invente des excuses. C’est peut-être vrai, je refuse d’accepter que Shadow soit mort dans une putain de ruelle, vidé de son sang, par des petits voyous de bas étages. Ce serait s

putain ce que t’es mo

lus il n’arrive pas. J

n maintenant, sor

’à ce que la terre se mette à

si tu veux réapparaître

aller. Sauf les gars, nous restons tous là auprès de la tombe de Shadow.

affaires de Shadow, pour faire de

tion que quelqu’un to

e reviend

veut dire que Shadow peut revenir un jour ou l’autre. Qui sait, il est peut-être

ve et me reg

tu es le seul peut-être à souffrir de la mort

t et de ce fait il me doit un respect total. Il a beau ne pas être d’accord avec moi, mais de là à me m

ut que tu comprennes que ce n’est pas une bla

r en coin, Rusti est là lui aussi, il a fait le trajet depuis Vegas pour venir, son regard à lui aussi est plein de ce que j’appellerais du chagrin, Crow, mon a

de cette façon, alors tant que je ne verra

ière moi, je suis certain que s’il avait le choix il me donnerait un bon coup sur la tête. Mais je suis le Diable, le roi des enfers et si

club de bikers, et que vos affaires tournent autour de la drogue et de vente d’armes, on a pas vraiment le choix vous voyez. Et ces hommes autour de moi, sont mes hommes, mes frères, les seuls autorisés à s’approcher de moi sans que je ne sorte mon flingue. Shadow était mon vice-

rrompre, loin de là, tout ce qui se passe là est même très in

ir son flingue et sûrement embarrassé que sa

Où ? ” Demande-t’il en

bas, je dois avouer qu’il

Dit Eagle en march

n ton n’invitant à

sse les yeux, et r

’en occuper

t nous rejoignons la voiture et partons, du moins c’es