Le Sentiment D'amour D'un Orphelin
son chemin. Quelle gentille femme de race s'embarrasserait d'un rat d
oit arrivé. Aucun enfant ne devrait avoir à endurer une telle cruauté." Sa main tomba du visage de Ginelle et Eloïse
eusement avec le tapis blanc luxuriant sous ses pieds. Son pas brusque s'arrêta rapidement alors qu'elle se tournait et r
uvait pas suggérer qu'elle, une enfant pauvre vit parmi les riches ? Ce n'était pas convenable. Éloïse était-elle cruelle
compren
heureuse. J'étais mariée à l'homme le plus charmant et le plus beau et lui et moi étions profondément amoureux." Elle s'arrêta et lorsqu'elle parla ensuite, sa voix se brisa avec un découragem
ait pleinement affichée sur le beau visage d'Eloïse. Elle avait perdu son mari et son enfant. Bie
e alors qu'elle disait : « Tu as été privé d'une enfance par un
d'être mère ? demand
bleus. "Toi et moi sommes pareils dans nos chagrins et je crois qu'ensemble nous pouvons réparer no
puis s'arrêta lorsqu'un co
t portant un plateau chargé de nourriture. Instantanément, l'estomac de Gin
lque temps, Ginelle. Au moins jusqu'à ce que la saiso
rait de mal de rester un moment ? Pour se réchauffer et manger abondamment et s'autoriser juste un peu de compagnie à laquelle elle aspirait si désespérément ? Elle étudia la femme assise en face d'elle. Comment pouvait-elle re
car pour l'instant, elle était à l'abri du temps glacial et d
r sans fin. Elle n'avait pas tout à fait réalisé à quel point elle était vraiment affamée jusqu'à ce qu'elle regarde en bas pour trouver le plateau c
la chambre derrière elle. Immédiatement, la vieille femme se tourna vers Eloïse, son visage flétri pincé de
alors qu'Eloïse disait : "Je suis la Dame du manoir. L'enfant reste. Ce n'est pas à discuter." Ell
vous et moi savons tous les deux que sa tolérance
utre nuit dans la rue." Eloïse rassembla rapidement son sang-froid, redressant sa colonne vertébrale alors que ses yeux s'adoucissaient, "Pardo
ment. "Votre chagrin est compréhensible, mais vous ne pouvez pas co
resse dans ses yeux alors qu'une résolution exacte s
ieuse. Doit-elle vraiment considérer sa proposition ? En pensant à cela, elle regarda autour d'elle la belle pièce blanche et se demanda ce que ce serait de se réveiller chaque matin avec un foyer chauffé à vos pieds et des plumes sous la têt
nt en rencontrant ces yeux profonds et azur mais ils étaient toujours doux et pleins de chaleur. É
inelle hésita avant d'accepter avec précaution la chemise de nuit de la main tendue d'Elo
rid pour vous aider. Ell
pas vous r
Une lumière effleura ses yeux bleus alors qu'elle continuait : « Demain, nous irons rendre visite à une couturière en ville et sélectionnerons parmi de nombreuses b
se courba en un sourire devant la tendre d
de pressante et eut envie de la présence d'Eloïse. Elle avait du mal à respirer ; difficile d'amener de l'air dans ses poumons. Ses yeux se déplaçaient avec méfiance dans la pièce, étudiant
nfermaient et que la pièce spacieuse com
ndant à quel point il serait difficile d'en sor
ardait impuissante la porte. Le loquet se souleva et la porte s'ouvrit
en poussant la porte et entra, traversant la pièce pour fermer les épais r
boucles rouges encadraient son visage ovale et elle tendit la main pour mettre une mèche isolée derrière son oreille. "Je suis Ingrid." Dit-e
daient sur la chemise de nuit, indiquant que le vêtement lui appartenait et qu'elle n'en était pas except
nèbres l'ont submergée, la piégeant dans un terrifiant nuage de paranoïa. Son corps commença à trembler alors que ses doigts se serraient autour du coton dans ses mains. Elle
ère, serrant le médaillon d'argent qui pendait autour de son cou alors qu'elle
suya rapidement car Pierino avait toujours dit que les larmes étaient une forme de faiblesse. Elle devrait êt
ous la cheminée et se roula en boule alors que la chaleur du feu care
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