Passionnément
niqu
IONN
pit
essuyé ma semence tant sur ma main droit et sur HULK avec du papier toilette qui j'ai ensuite jette dans le WC, je tire la chasse-d 'eau d
ou simplement par habitude depuis ma puberté. Mon cheminement vers la masturbation surtout ma toute premiè
j'appréhende beaucoup sa réaction par la suite. Je me dirige vers mon box de travail comme si rien n'était. Je rappelle Mr Desbuissons qui ne manque pas de me faire subir so
RRRRRRR
avail sonne 15 heures de l'après-m
montre : oh il es
gue voisine dire :
ite de sardines avec d'autres personnes de l'étage. Et ainsi me permettre d'arriver a temps au métro pour le premier train qui me permet de rentrer chez moi. J'ai une voiture, cadeau de mon père, mais je préfère prendre
où se trouve l'ascenseur. Sur mon chemin je croise Mme Duchat, un
t : ah Edward ! Alors la
e m'en parlé pas ! je ne sai
ascenseur. J'arrive a leur niveau en compagnie de Mme Duchat. Nous patientons une peti
bruit de l
Ah le
entrent et il reste une place. Je peux entrer vu que je suis devant la porte ouverte de l'asce
: Allez-y Mr ! Entrez je vou
dans l'ascenseur : a
eur se ferment, Mme Du
ouriant : Vous ête
l'ascenseur : Je
tons une pe
RRRRR
ah voici l'
ui arrivent vers nous, elles sont 8 dont Mme
filles a entrer dans l'asce
me regardant : merci
s sont entrées et il reste une petite place. Mme Du
adressant a moi : oh mais E
ascenseur : Excusez-moi Mme
e et je peux sentir ses fesses contre mon bas-ventre. Franchement la situation est HOT HOT. J'ai envie de faire là a Mme Héloïse... la tenir par les hanches, déchirer sa robe légère, la caresser partout, l'embrasser, la mordre le cou, peloter ses seins et les sucer et les mordre, frotter mon membre dur contre ses fesses, arrache
que puis s'ouvre.
Qu'est-ce qu'on est
te : Humm ! Qu'est-ce qu'
er, le sourire aux lèvres. Ma j
s filles plus ou moins jolie et sexy. Je les regarde en souriant. Je me rince l'œil quand je peux en admirant leurs fesses, leurs jambes nues. J'arrive dans le métro qui est bombé de monde, i
haussures a talons haut. Ces jambes s'arrêtent net devant moi et aussitôt je lève les yeux pour voir la fille a qui appartient ces jambes de rêve. Quand je vois la fille, je suis juste... Waouh ! C'est une jolie jeune femme a la chevelure lise blond qui lui arrive au dos. Des blondes j'en connais mais celle-là dépasse ce que j'ai vu auparavant. Cette blonde porte manteau belge ouvert, une robe courte belge et des chaussure belge
vois qu'elle a des yeux bleus comme l'océan, de plus au maquillage crayon bleu entoure ses yeux et du mascara noir sur ses cils. Oh lala ! C'est une sirène cette fille. Elle soutient son regard sur le mien. Elle
e dès que les portes du wagon s'ouvrent. Des passagers sortent aussi. Je
base : P*tain ! D'o
lentement. Je tente de me frayer un chemin dans la foule pour rattraper cette fille. C'est difficile car il y a trop de monde. Je regar
a la sortie du métr
: M*rde !
qui s'éloigne au loin. Je fonce vers elle en marchant vite et la rattrape. J
ng ! Cette fille se donne vr
lle marche les mains dans les poches de son manteau belge, elle est si bien avec ses talons hauts. Sa démarche est naturelle, lente, gracieuse tel
finit de traversé cette route, c'est a ce moment-là je traverse aussi en la regardant marcher. Je marc
un bus en face de moi. Le bus v
viter. Sur le coup, je tombe a plat ventre sur la chaussée et ma tête heurte le sol. Je suis sonné. Je reste
! Nom de DIEU ! Nom de DIE
i conscience, j'ent
est-ce qu
s qu'on a écr
ù ça ?
Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom de DIEU ! Nom
l faut appeler
st ce qui
omme a traversé
cœur : Aiie ! Où...
r que je sens entre ma cuisse droite et mon bas-ventre. Cette douleur me paralyse les jambes. Ma tête me fait m
: Zut ! Elle n'est plus là
vers la droite et là je vois une paire chaussures belge a talons près de moi, je lève les yeux et je vois deux magnifique longues jambes nues dans un manteau ouvert sous une petite robe belge sexy. Mes yeux se ferment contre ma vol
s cette petite robe belge se
erment et...
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enter d'aimer