Malia : Le prix du bonheur

oi une sombre idiote qui av

mata

toujours dit et je le répéterai toujours. Depu

voyo

nt s'agiter, je ne voulais pas lui donner l'occasion de dire par

oi je jouais la carte de l'indifférence. Elle ne mé

s profond de moi-même. J'étais réellement blessée. Dans ces

line

répondre. Il faut parfois apprendre à se ta

ait certain d'avoir raison, mais je comprenais aujourd'hui que Mama

.Mais cette fois, le silence était mon arme de guerre. Alors

her seulement à déclencher des disputes entre nous, mais moi je

isputer seule cette vieille sorciè

coup mieux. Nous étions sous tension. Ma déception, son orgueil et l

e principal accusateur. Il me tapait sérieusement sur le système! I

aille dans notre foyer, et il se permetta

it les bornes, je n'hé

oi

je m'en vais Khalil! Je jure que je m'en v

ha

vec ton salaire de misère que tu vas t'en sortir? Tu cro

inconnu. Son orgueil le rendait froid et méchant. Je me disais que j'avais bien

urs dans le même lit, mais chacun de son côté, et en a

is chacun marquait sa désapprobation.

portais plus. Je ne voulais

mour et c'est comme ça qu'il me l

tu en l'air. J'avais compl

s, Diéné, m'aimait beaucoup. On s'

fficiles dans son couple, et

it pas supporter. Elle avait quitté son foyer avec ses d

Diéné était ce genre de femme sur laquelle les gens se retournaient dans la rue. Elle

elle, intelligente et aimante? Ça je ne le comprendrai

re se comporte comme son ex-mari, et s

a pièce. Elle croyait être discrète, mais elle était tel

tude, elle s'était énervée contre moi, et Monsieur Khalil qui avait désormais rallié

ié

et ma belle-famille me causaient du tord, mais vous, vous vous permettez de fair

mme ça et vous ne me rev

s laisses faire et tu ne dis rien?

avions beaucoup discuté et échangé. Diéné m'avait conseillé de partir ailleurs, au moin

ais trop contente, Diéné était une bénédiction pour moi. Ç

abitait pas avec nous et n

honte, je n'avais pas osé parle

acheter plus près du travail de Khalil et que

e menaient la vie dure. Ni mes parents, ni mes frères. Je ne vou

ne voulais pas que ça change. Je souhaitais protéger l'image de mon couple. Peut-ê

arler, les choses auraient certainement été différentes

on confident, je n'avais pas pu dire la v

e ma situation à deux de m

fille géniale, toujours de bonne humeur et par

J'adorais son accent un peu anglophon

célibataire. Quand je lui racontais m

e je préfère être seule, les h

travail passaient plus vite! Mon reto

leure amie depuis l'école primaire.

même pas à me conseiller sur cette situation puisqu'el

rs aussi. C'était mon témoin de maria

e n'avais pas eu. Avec elle,

sept enfants. C'était la troisième,

depuis le Maroc lorsqu'elle

urs. Donc on avait juste à traverser pour aller

M

ça depuis toujours) je crois q

uch

ah! Ça va pa

nt une mauvaise période. Soit patien

M

ui? Regardes comment je vis Bou? Franchement,

B

ente je t'en supplie. Promets-moi de patienter

oi

Tu as peut

rassurer Bou, mais au fond de

que je sorte de ce trou et vite. Parce q

mes problèmes conjugaux, et

giquement et nerveusement, mes n

ix du bonheu

irs, S

it ange était parti, et deux mois et de

x-parents était diff

e le ménage. Je n'avais aucune classe et je m'habillais comme une demeurée ....

vé ces esprits, il était u

rlé et lui avait p

ié

fres, si elle reste c'est à cause de ce qu'elle ressent p

es, et en plus tu la maltraites s

n'a pas le droit de se comporter comm

ppelé aussi depuis Dakar. Elle lui avait dit ses

on au plus vite avant qu'elle ne voyage pour t

ei

fais. Parfois, je ne sais pas ce qu'elle cherche. C'est ma propre mère, mais

est pas évident deh! Les problèmes ne manque jamais! Moi-m

hérie, c'est que tu puisses

ur, et tant que ton

M

a m'a fait du bie

vais le soutien de mes bell

ents. Elles étaient comme ses petites mamans. Alors il avait f

p quoi penser. Il m'avait tellement déçu ces dernier

sait même un trop. Il me demandait mille fois par jour comme

que mon mari s'intéresse à moi, mais la compli

ça sonnait faux, il avait vraiment l'air sincère, mais moi j'étais main

ait. Notre vie était parfaite. Enfin peut-être pas co

ore du temps où l'

euse de David, un copain de Khalil. J'avais le

14 ans, immatures, et joueurs. Il ne

pour David. Et ce dernier m'avait officiellement dit qu'il ne m'aimait pas

il, Bou et moi, nous étion

es trois dans la même classe. C'est là qu'il a c

nsemble, et au bout de quelques mois nous ét

vec lui. Je le voyais plus comme un ami. Et puis, c'était compli

line

suivre les gens d'ici et vous comporter comme des petits blancs mal éduqués...

lé! Une vie de fille du village de chez nous quoi! Pour les garçons (j'ai trois grands frères) la me

ation. Elle avait quitté l'Afrique,

À trente minutes seulement de Paris. Alors, l'Afriqu

uartier résidentiel, dans u

ome, et maman infirmière. Nous avons toujours eu ce qu'il nous fallait mes tro

n. Elle, tout ce qui l'intéressait c'est qu'on réussisse

stions que je lui dise que j'avais un petit copai

ès proche de lui, et il m'avait très vite conseiller d'attendre

wa

où maman en mourra. Tu le sais Malia! Vois d'abord comment ça évolue et puis si

l avait raison au bout de trois ans j'étais to

tre bac et on avait fêt

mptabilité, et lui était à la fac de

ue je vivais avec Khalil. Et finalement, au bout de presqu

de lui, je ne vivais que pour lui. Et l

a main à mon père. Celui-ci lui a fait tout un cérémonial.