Mariage avec un zillionnaire secret
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Reviens mon amour
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Les regrets de mon ex-mari
Ex-mari, je ne t'aime plus
L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
En fin d'après-midi, alors que les enfants jouent dans leur salle de jeux, Clémentine, une mère de famille nombreuse, profite du calme pour commencer à préparer le diné avant que son mari ne rentre. Ce n'est pas quelque chose qu'elle faisait régulièrement, ou du moins depuis que les livraisons à domicile soit à la mode. Seulement ce sont ces derniers moments avec ses proches. Cette semaine par exemple, elle passa plus de temps avec sa mère, alors qu'elles ne s'entendent pas très bien.
En fait dire qu'elles ne s'entendent pas serait un peu exagéré, de son point de vue sa mère n'était qu'une vieille femme de 300 ans trop obstinée pour reconnaître le point de vue des autres. En d'autres mots, elle a toujours raison et les autres ont toujours tors, ça n'a rien d'étonnant puisqu'elle dirige toute une communauté de créature surnaturelle. Mais elle est géniale avec ses petits enfants, surtout les jumelles qui sont ses premières petites filles. Sa sœur qui ne voulait pas avoir d'enfant était aussi admirative devant les quatre petits. En tant que mère Clémentine devait reconnaître que ces enfants étaient assez impressionnants, la façon dont les plus âgées s'occupent des cadets, leur intelligence, leur façon d'aborder le monde et chacun d'entre eux était ridiculement beaux. Si elle pense ça ce n'est parce qu'elle est leur mère, mais il faut voir la réaction des gens dans la rue dès qu'ils aperçoivent ses quatre petits anges, leurs beaux yeux vairons n'étaient pas étrangers à leur réaction, mais Le fait qu'ils aient une pigmentation différente rend plus difficile d'expliquer qu'ils étaient bel et bien une fratrie reliée par le sang. Les jumelles par exemple l'une est une blanche aux cheveux blonds d'orées, elle ressemble à sa grand-mère paternelle, et l'autre est noir avec une chevelure afro, comme elle, son fils est le seul à ressembler à un métis avec une peau matte et beaucoup de cheveux bouclés, la petite dernière, c'est encore un bébé, mais était déjà le portrait craché de son père, avec sa peau aussi blanche que le lait et des cheveux noirs corbeau. En plus d'avoir un physique avantageux ses enfants étaient très sociables et polis. Elle se disait parfois qu'être leur mère était dû à sa bonne étoile, cette même étoile qui lui offrit une histoire d'amour qu'on ne trouve que dans les films et les romans à l'eau de rose. Mais voilà sa vie était sur le point de se terminer, cette même vie pour laquelle elle avait sacrifié ses relations amicales et presque détruit sa relation avec sa famille, pour pouvoir la vivre. Ce n'est pas qu'elle regrette les batailles qu'elle a dû mener pour vivre sa plus belle histoire d'amour qui était t'interdite par les lois qui régis son peuple à l'époque où elle avait commencé à fréquenter son mari, mais elle va devoir y renoncer pour pouvoir sauver les personnes qu'elle aime le plus. Ça fait plus de deux ans et demi qu'elle se prépare et entraîne ses enfants, pour qu'ils puissent se défendre seul. Elle ne savait pas quels jours elle devait perdre la vie, mais elle comptait bien profiter de ses derniers instants sur cette terre.
Alors que le repas était presque prés, elle appela ses filles depuis la cuisine pour qu'ils viennent dresser la tables.
-Ephyra, Gaïa ?
Elle attendit quelque seconde avant que l'une des ainées lui réponde.
-oui, maman.
C'était Gaïa qui lui répondit en première, comme à son habitude. Ce n'est pas que sa sœur soit impolie, mais elle attendait généralement qu'on lui dise pourquoi on l'appelle pour qu'elle se bouge.
-Venez mettre la table !
Gaïa, suivie de prés par Ephyra, déboula dans les escaliers comme un boulet de canon. Elles se mirent directement au travail comme un vieux couple marié depuis 40 ans qui n'a plus besoin de la parole pour communiquer. Pendant que l'une alla chercher les verres à eau et de pied pour le vin, l'autre s'employa à placer les dessous d'assiettes. Avent de placer les dessous d'assiettes Ephyra s'arrêta dans son geste, se rappelant qu'elle ne savait pas si aujourd'hui elles devaient dresser la table d'intérieur ou celle d'extérieur.
- Maman ? interpella-t-elle sa mère.
- oui, ma chérie ?
- Est-ce qu'on utilise la table à l'intérieur ?
- Non, comme il fait beau on va dîner dans le patio !
- ok
- Et rajouter cinq couverts pour votre tante et vos grand-parents ?
-ok, répondit Ephyra en réitérant sa réponse précédente. Se dirigent vers la porte coulissante qui mène au patio, elle fit demi-tours pour récupérer des dessous d'assiettes en plus et sa sœur en fit de même avec les verres.
Pendant que les filles mettaient la table, Clémentine s'efforçait de terminer au plus vite ses préparatifs dans la cuisine, avant que ses invités arrivent. Ses beaux-parents devaient arriver avec son mari. Elle était inquiète, car sa mère et sa belle-mère se disputent toujours dé qu'elles se mettaient à parler de politique, ce qui n'y couper presque jamais. Au moment où elle était en train de terminer les amuse bouche, elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir, ainsi que des voix qui accompagné le bruit de la porte qui se ferme. Elle reconnue la voix de son mari, les autres voix qu'elle entendit devaient sûrement être les voix de ses baux parents.
- Clém? cria fortement une belle voix masculine.
- Je suis dans la cuisine, répondit-elle.
Amir se dirigea vers la cuisine afin de pouvoir saluer comme il se doit sa femme. Dès qu'il rentra dans la cuisine, il souleva sa femme, qui était bien plus petite que lui, pour lui faire un gros smack sur ses lèvres. Clémentine éclata de rire face à ce grand gamin qui lui sert de mari. Si les personnes présentes dans cette maison ne savais pas que ça fait près de 80 ans qu'ils étaient ensemble, ils jureraient qu'il était encore dans leur phase de lune de miel. On pouvait clairement percevoir l'adoration qu'ils avaient l'un pour l'autre dans la manière dont t'il s'adressait l'un à l'autre. À l'entrée de la cuisine se tenait une femme blonde platine incroyablement belle, qui les regardait avec impatience. Elle voulait voir ses petits enfants et non ces amoureux transit qui ne semblait pas la remarque. Elle décida de les interrompre :
- Vous voulez bien arrêter votre remake de retrouvaille de film navet !
Amir savait bien que sa mère les taquinait, mais s'a eu le dont de l'irriter étant données les remarques de ses parents lors du début de son histoire avec sa femme. Avant qu'il ne puisse faire une remarque bien sentie, il éprouva un léger pincement sur son bras, c'était son épouse qui le priait de bien se tenir.
- GRAND-MAMAN !
À cet instant Ephyra fit sont apparition en courant dans les bras de sa Grand-mère, depuis la porte coulissante qui donne sur l'extérieur. Celle-ci ravit de voir sa petite fille ne remarqua pas tension parue dans la pièce.
- Où ta sœur ?
- Elle est allée chercher Ayden et Heaven.
Ephyra se mit à regarder dans toutes les directions comme si elle cherchait quelque chose :
- où est grand-père ?
- il devrait être au salon, allons le chercher ! Répondit-elle. Elle ne prêtait déjà plus aucune attention à son fils et à sa belle-fille. Elle reparti vers le salon, sans même se rendre compte qu'elle n'avait pas salué sa belle-fille.
Peu de temps après, alors que Clémentine avait fini ses préparatifs pour le repas et que les enfants était tous descendus, la porte d'entrée s'ouvrit et vit une femme enthousiaste faire son entrée suivie d'une autres qui avait l'air fatiguée et d'un homme exaspéré. C'était sa famille, les personnes qu'elle aimer d'un amour incommensurable. Il n'y avait pas de mots assez for pour décrire la joie qu'elle ressentait en ce moment, être entourée de temps d'amour ne faisait que lui rappeler que l'heure de sa mort était imminent. Bien que ne sachant pas quand cela aller se produire, plusieurs fois dans la soirée, elle se surprit à avoir des regrets et de la tristesse. Claudine qui avait remarqué le comportement bizarre de sa fille, l'observa durant toute la soirée et dès qu'elles se retrouvèrent en tête à tête dans la cuisine elle la confronta.
-Ma chérie est-ce que ça va ? Tu as été bizarre toute la semaine !
- Que veux-tu dire ?
- Tu as l'air distraite et triste.
- Je vais très bien maman, tu n'as pas besoin de t'inquiéter pour moi !
- Tu me le dirais si quelque chose n'allait pas, n'est-ce pas ?
- oui maman, lui menti Clémentine en fouillant dans le frigo pour retirer le tiramisu et la tarte aux pommes qu'elle avait préparées dans la matinée. Quand elle déposa les tartes sur le plan de travail, elle s'efforça d'avoir un sourire rassurant à offrir à sa mère qui lui pris la tarte des mains et se dirigea vers patio. Clémentine qui la suivait avec le tiramisu se dis qu'elle avait réussi à tromper sa mère. Le reste de la soirée se passa tranquillement, les discussions allaient de bon train et les enfants semblaient s'amuser. Très tardivement dans la soirée les invités firent leurs adieux.
Amir entrepris de mettre les plus jeunes des enfants aux lits tandis que sa femme finissaient de débarrasser la table. Après que sa tache eut était terminée elle se dirigea vers la chambre de ses filles qui se trouvaient au premier, elle trouva Ephyra, seule, assise sur son lit, en train de sécher ses cheveux avec un essuie-main. Elle s'assit auprès d'elle et lui pris l'essuie-main, elle la prit par les épaules pour la diriger de façon à ce qu'elle lui tourne le dos et se mis à lui sécher les cheveux.
-Tu sais ma puce, commença-t-elle en utilisant ce vieux surnom que tous les jeunes parents se promettent de ne jamais employer. Je veux que tu me promettes que si un jour tu es triste ou que tu es en colère tu en parleras a quelqu'un, ne te renferme pas. Si tu ne dis rien les autres ne pourrons pas te comprendre.
Elle lui disait ça, car elle s'inquiétait plus pour elle que de ses autres enfants. Elle était celle qui s'exprimer le moins alors qu'elle était la plus sensible, il semblerait que sa petite fille aie t'apprit à garder toutes ses souffrances pour elle à un si jeune âge. Même elle qui était sa mère, elle avait du mal à la comprendre. Elle sait qu'elle lui avait demandé de protéger ses sœurs et son frère, et que c'était un fardeau bien trop lourd pour une préado. Mais ses pouvoirs était ceux qui pouvait les mettre tous à l'abri du danger, elle ne pouvait qu'imaginer la solitude qu'elle allait affronter.
- Je sais que ce que je t'aie demandée de faire, si jamais il m'arrivait quelque chose est très difficile, mais connaissant tes grands-mères, elles ne te laisseront pas seul. Alors si jamais tu es triste, que tu as peur ou que tu es en colère parle en. D'accord ?
En guise de réponse Ephyra se contenta de hausser la tête. Avent que sa mère ne puisse exiger une réponse à voix haute pour s'assurer de sa comprehensions, sa sœur entra dans la chambre, doucher et en pyjama. Elles passèrent 30 minutes à discuter de tous et de rien. En passant par l'école et leurs amis, la musique et le garçon d'à côté qu'elles ne voyaient que de temps en temps, car cette maison était leur maison de vacances. Après ce petit moment entre fille Clémentine alla faire un bisou aux petits derniers qui étaient déjà dans les bras de Morphée, ensuite elle rejoignit son mari dans la chambre. Ce dernier était en train de revêtir ses chaussures comme s'il s'apprêtait à sortir.
- où est-ce que tu vas ?
- Je vais retrouver ma mère, elle voudrait mon avis sur quelque chose.
Elle lui fit des grands yeux, car ils avaient tous les deux décidé qu'ils ne se mêleraient pas des affaires politique de l'autre mondes pour préserver les enfants, ils ne voulaient pas qu'ils grandissent avec la pression qui accompagne ce mode de vie.
- Ne me regarde pas comme ça … je vais juste lui parler en face à face. Tu connais ma mère, elle ne demande pas elle exige et je reviens vite. Ils viennent de partir donc l'idéal, c'est que je les rattrape.