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LODYSSÉE DURU K

Une déesse sans déguisement après le divorce

Une déesse sans déguisement après le divorce

White Knight
Une fois qu'Alexia a été démasquée comme fausse héritière, sa famille l'a rejetée et son mari lui a tourné le dos. Le monde s'attendait à la voir s'effondrer, jusqu'à ce que Waylon, un influent homme d'affaires mystérieux, lui tende la main. Alors que les sceptiques attendaient qu'il la laisse tomber, Alexia a fait preuve de talents surprenants, laissant les PDG stupéfaits. Son ex-mari l'a suppliée de revenir, mais elle l'a repoussé et a croisé le regard de Waylon. « Chéri, tu peux compter sur moi. » Il a effleuré sa joue. « Mon amour, repose-toi sur moi. » Récemment, la scène internationale est bouleversée par trois désastres : le divorce d'Alexia, le mariage de Waylon et leur alliance imparable renversant ses adversaires du jour au lendemain.
Moderne VengeanceDivorcePDGIdentités multiplesArrogantDominant
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Ca courait de partout, les gens allaient dans tous les sens ; c’étaient les cris et les agitations, c’étaient les pleurs et les supplications ! Ils étaient sans pitié sans cœur. Ils portaient des masques et ils étaient armés… Jusqu’aux dents ! On pouvait déceler à travers leurs fait et gestes, de la détermination, mais surtout de la haine. Tout partait en fumée, comme par enchantement ; c’était comme un rêve ! Presque toutes les maisons furent détruites, consumées par les flammes. Certains malchanceux périrent, d’autre purent s’enfuir, laissant derrière eux toute une vie brisée à jamais.

C’étaient des familles détruites pour toujours, c’étaient des femmes, des jeunes filles violentées. C’étaient des hommes, des maris tabassés à mort, d’autres rebelles tués de sang-froid. Ils avaient été interrogés, ils s’étaient tu, ils ne voulaient rien dire. On les avait retenus prisonniers ; d’autres voulaient parler, se faire libérer, ils voulaient qu’on leur laisse la vie sauve en échange.

Ce n’était pas dans les habitudes d’Antonio de se laisser radoucir. C’était lui le responsable ; tout avait été orchestré par lui. Il grognait et pestait à haute voix, jurant par tous les dieux. Il promit à chacun des otages une mort atroce si ces derniers ne parlaient pas, il s’adressait à eux en français avec un accent particulier. Il venait de faire raser tout le village en l’espace de quelques heures et avait ordonné qu’on ne retienne que quelques personnes, il voulait savoir et avoir la confirmation de ce qu’il recherchait…

Nous avions couru de toutes nos forces, nous avions pu nous enfuir et nous réfugier dans la brousse. Ma mère, Jenaelle et moi on s’était tapies derrière un gros tronc d’arbre ; c’était la nuit noire, on ne pouvait plus avancer, il fallait qu’on attende. Nous étions terrifiées, je tremblais à n’en plus finir, je sanglotais, Jenaelle pleurait, elle essayait de parler mais les pleurs la dominaient et sa voix était chevrotante ; on se blottissait contre notre mère qui elle-même n’était pas épargnée par la peur. On sentait le froid nous pénétrer sous la peau avec violence ; je pouvais entendre le claquement des dents de Jenaelle, je pouvais sentir le corps de ma mère grelotter contre moi. Sa chaleur n’était pas assez suffisante. Mes yeux tentaient de percer au loin, le village ; j’avais levé la tête un tout petit peu et je pouvais encore voir ces flammes qui consumaient les maisons progressivement ; je percevais au loin quelques pleurs et cris. Ma mère m’ordonna de me baisser et de ne plus bouger…

On venait d’entendre des pas, c’était sûrement d’autres fugitifs qui avaient aussi pu réussir à s’enfuir comme nous. L’espoir nous gagna aussitôt, surtout moi, je voulais qu’on se joigne à eux et qu’on quitte au plus vite cet endroit. On aurait plus de chance de se faufiler dans cette forêt en groupe qu’en étant que trois, une femme et deux fillettes ; car la probabilité de se faire prendre toutes les trois était très grande. Les pas se rapprochaient de plus en plus, je voulais qu’on se lève à l’immédiat, mais ma mère me retint par le bras et m’ordonna de me taire, de me calmer et de rester sur place, quoiqu’un peu sceptique. j’étais persuadée que ces méchants auraient de la peine à se faufiler dans ces bois. Ils recherchaient sûrement autre chose, ils avaient une raison bien particulière de venir attaquer tout un village. J’étais dans mes petites spéculations du moment lorsque je réalisai qu’il s’agissait bel et bien de nous, il s’agissait effectivement de ce dont pourquoi Antonio avait agi de la sorte.

Nous venions d’être trahies par nos frères, c’était ça contre leur liberté. Mais Antonio les avait remerciés malgré tout de manière assez cruelle, il les avait fait libérés et avait ordonné qu’on brule leurs maisons. Les hommes d’Antonio, finirent par nous capturer dans la forêt et nous traînèrent de force. Ma mère le suppliait, et implorait qu’on nous laisse la vie sauve et qu’on s’en prenne plutôt à elle…

-Stp ! Ne me les prends pas ! Prend-moi plutôt, je ferai tout ce que tu veux !

- Je la veux elle !!! Exigea Antonio d’une voix ferme et déterminée.

Antonio me pointa du doigt. Je failli perdre tous mes sens dès cet instant. Non seulement ma mère le tutoyait, mais il me voulait moi. Je secouais la tête comme pour désapprouver, mais je n’étais qu’une gamine, et je n’avais pas assez de poigne, ni de force pour résister, mais je refusai catégoriquement de me faire prendre.

Jenaelle et moi nous nous tenions si fortement la main, on se regardait et on disait « Non ! Non ! Jamais ! Pas ça !!! » Je regardais ma mère, j’avais maintenu un tout petit espoir venant d’elle, j’avais espéré qu’en une fraction de seconde qu’elle n’opère un miracle auprès de cet homme ignoble. Je voyais comment elle le suppliait, elle s’était mise à genou et avait joint ses deux mains, elle lui parlait avec des mots, des phrases entrecoupées presque incompréhensibles. Il ordonna à l’immédiat qu’on la retienne fortement pendant qu’on m’arrachait moi des mains de ma sœur ; je tendis subitement mes bras en direction de ma sœur et de ma mère, je redoublai de plus belle dans les pleurs, les cris, les gémissements, les sanglots…

Dans un dernier élan, ma mère, impuissante lui demanda pourquoi il agissait de la sorte…

-Pourquoi ??? Snif ! Snif ! Pourquoi tu fais ça ? Snif !!! Tu es le diable en personne ! Le démon même incarné ! Pourquoi tu viens de cette manière me prendre Naelle ? Snif !!! Tu détruis mon village !!! Ma… ma famille !!! Snif !!! Noooon !!! Antonio !!! Sois maudit !!! Snifffff !!! Sois maudit !!! Sniffff !!!! Naaaaellllllle !!! Ma petite fille !!! Oooooh mon DIEU nooon !!!

-Mamaaaaaaa !!! Criai-je. Jenaeeeelle!!! Au secourrrrs !!!

Antonio, insensible, à toutes ses supplications, la regarda juste tout en la défiant.

-Je t’avais dit que je reviendrai un jour… Souviens-toi !

On m’arrachait violemment à ma terre, à ma famille, on m’arrachait brutalement ce bonheur dans lequel nous vivions malgré notre pauvreté. Nous n’avions rien, mais nous étions heureuses, et ça nous suffisait. On me coupait de ce monde, de nos jeux. Jamais plus je ne jouerais avec Jenaelle, jamais plus je ne revis ma mère et je ne sus ce qu’elles devinrent toutes les deux par la suite…

Des années plus tard, je vivais toujours avec cette même image tragique dans ma tête; cette même phrase qui me revenait tout le temps, ces cris, ces pleurs, ces flammes, ces villageois qui tentaient de s'enfuir... Mais surtout je revoyais ma mère, ma sœur. Je me demandais par moment ce qu'elles étaient devenues, et de l'endroit où elles pouvaient bien se trouver. Dipam avait été rasé et n’existait plus que comme un coin abandonné, lugubre et hanté. Il n’y avait plus d'âmes qui y vivaient, sûrement à cause de cette tragédie ; trop de larmes ont coulé, trop de sang avait coulé. Toutes ces tueries orchestrées méthodiquement par le grand Antonio, sous prétexte qu'il me voulait moi…

A 26 ans, je vivais avec l'un des plus grand, influent, puissant, très craint et très respecté de toute la contrée, Antonio Potenza, dit « Antonio le sicilien » Il était riche et adulé par tout le monde, n'en parlons plus des femmes. Nous habitions à Palerme en Sicile; il avait su se faire un nom dans cette région avant de se faire connaître à travers le reste du globe. Si Al Capone vivait encore, on aurait pu dire qu'il aurait été son plus grand rival.

Il m'avait amenée là-bas en Italie, à Palerme et m'avait façonnée... à son image. J’étais devenue aussi influente. Je vivais dans un palais avec toute une horde de domestiques, je menais une vie de princesse ; j'avais déjà fait le tour de monde, et même rencontrer les plus grands couturiers avec qui je collaborais en permanence... mon apparence comptait énormément pour moi ; d'ailleurs je finis par devenir une source d'inspiration pour certains d'entre eux. Antonio me fit faire des études ; il me disait toujours que je devais être instruite, avoir de l'éloquence et un certain bagage intellectuel…

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