Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Abus de pouvoir - Tome 1

Abus de pouvoir - Tome 1

Linda****24

5.0
avis
1.8K
Vues
20
Chapitres

Un adage dit: Ce que femme veut, Dieu veut. Quand on est une femme avec autant d'attribut et de pouvoir comme l'est Carmel KOALA, on ne peut que s'en réjouir. Abus de pouvoir retrace le charisme d'une femme, d'une mère prête à tout pour son enfant. il retrace aussi l'histoire d'une guerre sans fin. Tout tourne autour d'une femme. Abus de pouvoir, c'est enfin et surtout l'histoire de Brenda, jeune fille naïve qui croise inevitablement le chemin d'une famille, prête à tout pour rester au sommet. Son destin est déjà tracé.

Chapitre 1 Chapitre 1

Chapitre 1: Veuf avant l'heure

Pour rappel, les droits d'auteur sont déposés sur Amazon : L'article 335-4 réprime de trois ans d'emprisonnement et 300000 euros d'amende toute fixation, reproduction et communication de ces œuvres individuelles.

****FREDERICK KOALA

J'essaie de me concentrer le plus possible sur mon travail mais je n'y arrive vraiment pas. Je stresse beaucoup pour dire vrai. Ce n'est pas tous les jours qu'on demande sa petite amie en mariage. Je m'en veux de me sentir comme ça, surtout que ce n'est pas mon genre.

Je prends le combiné du téléphone posé sur mon bureau, en regardant l'horloge murale je compose le numéro du secrétariat.

- Bonjour monsieur KOALA, fait ma sécretaire à l'autre bout du fil

- Annulez tous mes rendez vous.

- D'accord monsieur, elle abdique.

Je me lève et prends mon cartable. Je peux rentrer chez moi quand je le veux, notre famille est le boss de la societé donc on a le droit de faire ce qu'on veut. Je saute dans ma voiture et direction la maison. Je n'aime pas être conduit par des chauffeurs, j'ai déjà dit à ma mère que j'ai horreur de ça. Elle est tellement perfectionniste cette femme...

Dès que je gare ma voiture, je monte, espérant trouver Moriane. Je suis déçu, je m'attendais à ce qu'elle soit la. C'est vrai qu'on ne s'est quitté que depuis deux heures mais elle me manque déjà. Je pose mon cartable et vais me servir un verre de martini. Puis je m'arrête à la fénètre et regarde la vue. Je suis à la cité des milles logements à Ouagadougou, et mes parents vivent non loin de chez moi.

J'aime beaucoup aller à la maison familliale, cette maison qui m'a vu grandir et devenir ce que je suis. C'est un privilège d'être né dans la famille KOALA et d'en faire partie.

Cette famille dont tout le monde parle, cette famille qui est un modèle et qui est l'une des plus puissantes de l'Afrique et du pays.

Je crois que j'ai déjà assez parlé de ma famille. Moi je suis Frederick KOALA, je suis l'unique enfant de mes parents. Je me suis toujours demandé pourquoi cela, mais je suppose qu'ils ont leur raison.

J'entends des bruits de talon et je sais déjà qui c'est.

- Humm, salut toi, dit-elle en me mordant le cou.

Je n'arrive pas à résister et je lui fais face tout à coup.

- Où est ce que tu étais ? Je m'attendais à te trouver ici.

- Désolé mon amour, j'ai eu un appel d'urgence de ma mère, elle avait besoin de moi.

- Ok. On dine chez ma mère ce soir.

- Et tu me le dis que maintenant ? Tu sais très bien à quel point je stresse toujours quand je suis avec tes parents, dit-elle, un peu paniquée.

- Oui, mais tu vas devoir t'y habituer.

Je lui prend le menton et je l'embrasse tendrement. Moriane est la seule femme avec qui je suis doux. J'ai tellement été manipulé par les femmes dans ma vie que j'avais decidé de ne plus me laisser aller et de jouer avec toutes celles que je vais rencontrer. Et en effet ce fut le cas, jusqu'à ce que mes yeux se posent sur elle.

- Et si on allait dans la chambre ?

Elle parle tout en déboutonnant ma chemise. Je la porte pour l'amener dans la chambre. C'est pour ça que je suis rentré, pour qu'on passe un bon moment avant que le soir n'arrive et que le stresse prenne à nouveau possession de moi. Elle prend les devants et je la laisse faire. On va sous la douche et la encore, c'est réparti pour des parties de jambe en l'air, à n'en point finir. Je la prends dans toute la maison.

Dans la soirée elle commence à se préparer et je passe un coup de fil a ma mère, histoire de savoir si le diner tenait toujours. Ensuite je me prépare aussi et on se met en route.

- Arrête de stresser, lui dis je alors que je conduis.

- Je ne peux pas, fait-elle en riant nerveusement.

- Mes parents t'adorent et tu le sais bien.

- Heureusement.

J'aime tellement son rire, je suis obsedé par elle. Cette fille est un ange tombé du ciel, qui a croisé mon chemin et je ne regrette pas ma décision de vouloir l'épouser. Après un bref coup d'œil vers elle, j'arrête la voiture. Et nous sortons pour rejoindre les autres. Ils sont tous dans le jardin, en plein air. Je suis surpris en arrivant vers eux et en découvrant que même les parents de Moriane sont là. C'est la totale. Mais ça tombe bien, car je vais faire ma demande et ma déclaration une bonne fois pour toutes. Je ne suis pas très expressif niveau sentiments et j'ai fait des efforts surhumains pour prendre cette décision.

Après les salutations, nous passons à table. Je discute avec la mère de Moriane. Le stress a disparu comme par magie. J'attends juste le bon moment pour me lever et parler. Je laisse lorsque tout le monde devient silencieux et je me lève. La concernée lève les yeux vers moi, ne comprenant rien.

- Bon, nous sommes réunis ce soir dans la bonne humeur, c'est une bonne chose et c'est l'occasion pour moi de faire quelque chose qui me tenait à cœur, depuis que j'ai posé les yeux sur Moriane ici présente.

Putain, je n'arrive pas à croire que c'est moi Fred qui dit ça. Juste à l'entente de ma phrase elle pose tout ce qu'elle tenait en main et me regarde super émue, la main posée sur sa poitrine. Je la fixe dans les yeux et je lui prends la main, l'incitant à se lever. Elle commence à sangloter.

- Je sais que je ne te le dis jamais à cause de mon égo surdimensionné, dis je en la faisant rire entre ses larmes, mais je t'aime plus que tout au monde. Quand mes yeux se sont posé sur toi, je savais déjà que je te voulais toi et uniquement toi, alors je ne veux plus tarder. Alors devant tes parents et devant les miens ce soir, je voudrais que tu fasses de moi l'homme le plus heureux au monde en acceptant de devenir ma femme.

Je sors une bague de son écrin et la présente devant elle. Je sais déjà qu'elle va accepter. Elle m'aime. Nous nous aimons. J'ai l'impression que nous sommes seuls au monde, je ne vois même pas mes parents et les siens autour de nous.

- Oh mon Dieu c'est magnifique chérie. Qu'est ce que tu attends pour dire oui ?s'adresse Léa à sa fille.

Je la regarde, attendant qu'elle réagisse. Ses larmes coulent en cascade sur son visage et elle tremble de partout.

- Maman. C'est tellement beau, je ne m'y attendais pas, dit-elle, alors que des larmes coulent sur son visage.

Elle me regarde enfin, je vois dans son regard de l'amour mêlée à de l'émotion. Elle jette un coup d'œil aux autres.

- Je te préviens déjà, si tu refuses ma bague tu vas me la rembourser, lui dis je.

Elle rit entre ses larmes, accompagnée des autres.

- Alors ? dis je, impatient.

- Bien sur que oui j'accepte, j'accepte Fred. Je veux être ta femme.

Je me lève et je lui mets la bague qui lui allait comme un gant, ensuite je la prends contre moi. J'aurai aimé l'embrasser, mais vu que mes parents sont là je n'ose pas le faire. On est pas chez les blancs ici.

- Je t'aime tellement, dit-elle contre moi.

Je me sépare d'elle et la regarde, la tentation fut forte plus que tout. je lui vole un baiser au coin des lèvres. Après on va dans le grand salon, vu qu'il commençait à cailler dehors. Sur le chemin du retour elle ne fait qu'admirer sa bague. Et moi ça me réjouit, j'aime tellement la voir heureuse.

- Tu prépares ce coup depuis quand déjà ? me demande t-elle avec un large sourire.

- C'est un secret, dis je en me moquant d'elle.

- Je n'arrive pas à croire que je vais devenir ta femme.

- Tu croyais qu'on allait rester comme ça sans se marier un jour ?

- Non pas du tout ! C'est juste que je ne m'y attendais pas. Devant mes parents et les tiens en plus ! T'es le meilleur Fred.

On arrive, en sortant de la voiture je saute enfin sur elle et je m'empare de ses lèvres. Ça m'a manqué putain. Elle se laisse faire en poussant un soupir pendant quelques instants puis elle pose sa main sur mon entrejambe. Il ne fallait pas. Tous mes sens se mettent en éveil. Je veux la posséder en ce moment comme jamais je ne l'ai fait. Je l'allonge dans le canapé après avoir ôté tous ses vêtements et ma langue la possède durant des minutes, avant que je ne me glisse en elle.

- Oh... Fred... C'est trop...bon.

Je m'applique encore plus pour qu'elle me sente le plus au plus profond d'elle. Je finis par tomber sur elle, alors qu'elle reprend son souffle. Je l'embrasse délicatement. Des minutes après elle se met sur le coude et me regarde.

- Alors, tu as pu éteindre ce feu qui brûlait en toi ? elle me demande.

- Pas complètement, dis -e en lui souriant. La soirée ne fait que commencer.

Je la porte à nouveau et l'amène dans la chambre, je referme la porte.

**

Je suis le premier à me lever, pour une fois je veux faire plaisir à ma princesse. Mais à partir de demain je ne vais plus rien faire. J'ai assez joué au romantique comme ça. Je descends et je trouve la femme de ménage. Elle vient habituellement pour nettoyer la maison et s'en va. Mais aujourd'hui, j'ai besoin d'elle pour le petit déjeuner. Ma fiancée dort et je veux le lui amener.

- Bonjour monsieur, dit-elle.

- J'aurai besoin de toi, tu peux me faire un petit déjeuner pour trois personnes ?

- Oui bien-sur, je mets quoi au menu ?

- Boff je te laisse tout gérer, dis je en secouant la tête, après quelques secondes de réflexion.

- D'accord.

Trente minutes après, je descends et je vois que tout est prêt. Elle a même découpé des fruits en morceaux, et il y a mon café bien noir que je prends toujours tous les matins. Je la remercie et monte avec. J'ouvre doucement la porte. Et je pose le plateau sur la table de chevet. Je vais vers le lit et la réveille doucement.

- Bébé.

Silence.

- Moriane, insisté-je.

- Humm.

- Réveille-toi.

Elle ouvre les yeux et tombe en plein sur mon visage près du sien. Elle sourit aussitôt et s'étire longuement. Puis elle se lève et se frotte les yeux. Je prends le plateau et le pose entre nous.

- Waouh mon cœur tu as mis le paquet, dit-elle alors que ses lèvres s'étirent en un sourire.

- Je veux te faire plaisir ce matin.

- Tu es trop mignon. J'ai horriblement faim, après toute la gymnastique de hier. Tu ne m'as pas laissé de répit.

- Mais tu serais prête à en redemander.

- C'est vrai, tu me connais trop bien.

Elle prend une bouchée de la nourriture. Je prends mon café et je commence à le boire. Lorsqu'on finit je prends le plateau et descends avec. Elle a pratiquement tout avalé. Ces derniers jours elle mange beaucoup, et à toute heure. Je remonte pour prendre mon bain et c'est lorsque je finis de me préparer qu'elle rentre.

- Je ne vais pas te demander pourquoi tu ne mets pas ta cravate. Je sais que tu as horreur de ça.

- Tu me connais bien.

- Je veux te parler ce soir d'un truc super important.

Je prends peur tout à coup et je fronce les sourcils

- Oh non ne t'inquiète pas bébé, ce n'est rien de grave.

- Ok.

Je l'embrasse et elle m'accompagne jusqu'à la grande porte. Je l'embrasse une dernière fois et ce n'est que lorsque je démarre que je la vois rentrer. Je suis un peu préoccupé par ce qu'elle a à me dire mais elle m'a dit de ne pas m'inquiéter, donc j'arrête d'y penser.

A 16heures je décide de rentrer, tellement elle me manque. Je rentre et je la vois dormir. Elle est tellement parfaite. Je la rejoins et je ne tarde pas à rejoindre les bras de Morphée. À mon réveil, je quitte le lit pour descendre dans le salon et je la vois en nuisette en train de mettre la table. Elle m'embrasse rapidement et je remonte pour prendre ma douche. On se met a table.

- La vue est très belle.

- Sois sérieux pendant un instant s'il te plait, rit elle malgré tout.

- Ok. Parle. Je t'écoute.

Elle quitte sa chaise et vient s'asseoir sur mes jambes. Elle se racle la gorge.

- Et si je te disais que... Que nous allons être parents ?

- Quoi ? fais je, pris au dépourvu.

- Je suis enceinte, Fred.

Je ne m'y attends tellement pas que je ris nerveusement.

- Un enfant de toi et moi ? Dites moi que je rêve.

Je suis l'homme le plus heureux de la terre. Je l'enlace fort contre moi. Je comprends maintenant son grand appetit de ces deux jours. Elle se sépare de moi après un long moment.

- La deuxième chose que j'aimerais te dire, bon c'est juste une information.

- Je t'écoute.

- Je dois aller en Belgique.

Mon sourire s'effaçe. Je suis très possessif, elle m'annonce une bonne nouvelle et enchaine aussitôt avec une mauvaise comme ça ?

- C'est non, dis je sans attendre qu'elle finisse de parler.

Je me lève en la faisant lever et je monte, j'ai perdu l'appétit. Comment est ce que c'est possible qu'elle veuille aller en Belgique alors qu'elle est enceinte ? Alors que je lui ai fait ma demande ?

- Fred..., débarque-t-elle en chambre.

- C'est non, Moriane. C'est non, tranche je.

- Pourquoi tu me fais ça ? Tu n'as même pas pris la peine de m'écouter, ni de savoir pourquoi je veux y aller , répond-t-elle en larmes.

J'inspire profondement en essayant de garder mon calme.

- Ok. Tu veux y aller pourquoi ?

- Pour faire une formation en haute couture. Je te jure bébé que ça ne prendra que deux mois.

- Deux mois Moriane ! crie je, scandalisé.

Elle sursaute. Je continue, sans lui laisser le temps de placer un autre mot.

- Tu t'entends parler ? En plus tu dis ça en mode normal.

- Tu ne veux pas que je poursuive mes rêves ? Je ne te comprends pas. Tu en fais un peu trop, c'est juste deux mois ! Après ça je reviens, dit-elle, un peu en colère. Je t'ai toujours laissé vivre tes rêves, je t'ai toujours soutenu et à ton tour, tu ne veux même pas que je bouge? C'est juste deux mois! Après ça, je rentre et on se marie.

Je souffle, elle a raison. J'en fais peut être un peu trop. Mais je l'aime tellement et avec la grossesse, la laisser aller en Belgique pour deux mois ? Je me rapproche d'elle.

- Tu me le promets ?

- Bien sur que oui, chéri. Je ne serai pas et je ne pourrai jamais être loin de toi, tu le sais bien.

- Bon. D'accord.

Elle me saute dessus. La journée se termine gaiement finalement.

Deux semaines plus tard, elle prend son vol. Elle va me manquer mais il faut bien que je pense à elle. Je ne veux pas être égoïste.

Décembre.

Un mois est passé. Je me tue au travail pour oublier l'absence de Moriane. À son retour, je ne la laisserai plus bouger.

Le téléphone sonne et je bondis dessus. Ça fait des heures que je tente de joindre Moriane, sa famille aussi. Sans succès. Je suis en colère. Voila pourquoi je ne voulais pas la laisser partir. Vous allez me traiter de possessif mais je m'en fous. Voilà.

- Allô.

- Oui, allô, je réponds.

C'est un numéro de la Belgique. Et je ne reconnais pas la voix. Un partenaire d'affaires peut-être ? J'attends qu'il parle.

- C'est monsieur KOALA à l'appareil ?

- Je vous écoute

- Nous avons retrouvé le corps de votre fiancée. Elle a été retrouvée morte en pleine brousse. Poignardée.

Attend quoi ? Wait, il parle de quoi lui ? Je ris nerveusement et en entendant mon rire il se tait.

- Monsieur je vous annonce que votre fiancée a été retrouvée morte et vous riez ?

- FERMEZ LA ! VOUS N'ÊTES QU'UN MENTEUR, MA FIANCÉE MOURIR ? QU'EST-CE QUE JE NE VAIS PAS ENTENDRE ? ÉCOUTEZ, JE NE SAIS PAS QUI VOUS ÊTES MAIS NE M'APPELEZ PLUS JAMAIS POUR ME FAIRE CE GENRE DE BLAGUE POURRIE !

Je raccroche, complètement hors de moi. J'ai le cœur qui bat tellement fort. Juste cette blague de mauvais goût me rend comme ça, et si c'était vrai alors? J'essaie de me calmer. Je ferme les yeux et m'adosse au siège. Pour me calmer je pense à son sourire, ce souvenir m'apaise immédiatement. Le son de ses rires aussi s'incrustent dans ma tête. Je finis par me calmer complètement et je me lève la seconde d'après pour me servir un verre.

Je le bois lorsque j'entends des bruits, des pleurs à en faire mal au crâne. Je sors de mon bureau sur le champs et je vois Léa en train de crier et de s'arracher les cheveux. Et tout à coup je comprends, je comprends tout. Ce salaud avait raison. Il avait dit la vérité. Je ne vois plus rien devant moi, mon regard se perd au loin. Moriane. Ma Moriane... Léa se met à hurler, son cri transperce mon âme.

- Oh mon Dieu Fred, Moriane m'a fait ça ohhh. Vous avez vu ce que l'enfant là m'a fait ? Elle a osé. Ehhhh je veux mourir, ma fille m'a fait ça. Elle m'a fait ça, répète-t-elle.

Elle se jette au sol et se met à crier. Elle roule au sol en se tenant la tête.

- Moriane qui es tu ? Ma fille pourquoi tu m'as fait ça ? POURQUOI ? TU ES MON UNIQUE ENFANT, POURQUOI ? Fred dis moi que c'est faux. Dis moi que c'est un rêve. Réveille moi. J'ai besoin que tu me réveille. Ma fille wéhhhh... Moriane n'aurait pas pu me faire ça, non je refuse que ce soit vrai. Moriane ohhhhhh mon enfant. Mon enfant, pleure-t-elle comme si le diable a pris possession d'elle.

Qu'est ce que je peux faire pour elle ? Qu'est ce que je peux lui dire, alors que moi aussi je viens de perdre ma moitié ? Je presse le verre qui se trouvait toujours dans ma main, tellement fort, qu'il éclate et entre dans la paume de ma main. Le tapis se retrouve ensanglanté.

Continuer

Inspirés de vos vus

Autres livres par Linda****24

Voir plus
Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre