Depuis sa plus tendre enfance, Clarissa croyait en l'amour, le vrai. Elle admirait toutes ces femmes, dans les comedies romantiques. Elles grandissaient ses espoirs et forgées une idée parfaite de ce que Clarissa attendrait d'un homme, jusqu'à ce que le pire complique ses espoirs d'amour.
Il était tard et je me cachais sous ma couverture afin d'apprendre ma poésie : La Cigale et la Fourmi.
Je pouvais entendre mes parents dans le salon, ils n'avaient pas l'air joyeux alors je suis aller voire ce qu'il se passait.
Ma mère était au sol et mon père la frappait avec une ceinture. Sans même m'en rendre compte, j'écarquillais les yeux et me suis mise à trembler. J'ai ouvert la porte afin d'être à la vue de ce monstre. Je voulais détourner son attention de maman. Il as posé ses yeux sur moi et s'est dirigé vers moi avec l'air le plus terrifiant que je n'ai jamais vu.
Il m'a attrapé et m'as projeté sur le canapé si fort que je me suis cognée contre le mur.
Mais je m'inquiétais trop pour ma mère alors je me suis pressé afin d'arriver au pied du canapé et j'ai tirer sur le tapis afin qu'on se mette sur nous.
Mon regard croisait celui de ma mère, les yeux remplis de larmes et la joue marquée par la ceinture en cuire.
Pourquoi était-il si méchant ? Pourquoi faisait-il tout ce qu'il faisait ?
Ma mère m'as attrapé dans ses bras et m'as poussé sous le tapis.
« Mama ! »
En un cours instant, je me suis prise un coup sur la tête et je sentais le sommeil monter en moi.
« Mama ! » hurlais-je.
C'est alors que je me suis réveillé, dans ce lit, dans cette magnifique chambre blanche.
Tout paraissait immaculée.
Où suis-je ?