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La prostituée du président

La prostituée du président

JC

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Chapitres

Que se passe t'il quand une jeune femme devient l'objet de désire De l'homme le plus puissant du pays? Nia vient de perdre ses parents dans un accident à sa charge son petit frère Cédric et sa Grand-mère Amandine. Sans qu'elle ne le sache elle va attirer l'attention de Daniel le président de l'une des entreprises les plus puissantes de son pays. Que va t'il se passer dans la vie de cette jeune fille a peine sortie de l'adolescence ?

Chapitre 1 Chapitre 1 2

Nous voilà tous assis au salon les invitées venait saluer tout le monde. Pour moi le monde s’écroulait je voyais tout mais je ne voyais rien je n’entendait plus rien. Dans ma tête tout était vide. Qu’est ce que j’allais devenir me voilà dans les problèmes un accident de la route avait arracher la vie de mes parents en nous laissant sans soutient, sans protections dans une maison où chacun était son propre Dieu. Je n’allais plus jamais mettre la tête sur leur genoux qui allait me tirer les cheveux en criant viens te peigner.

Ma mère était la femme la plus gentille et mon père l’homme le plus tendre que je connaissais. Nous étions tous assis au salon quand mon oncle Rodrigue et mon oncle Joseph rentre dans la cour avec les cercueils contenant le corps de mes parents. Les corps sont installées dans leur chambres sur le lit conjugal tout le monde va les voir pour un dernier a Dieu. Quand tout le monde finit de passer mon oncle me dit de rentrer dans la chambre Rodrigue : Nia va dans la chambre reste un peu avec eux si tu as quelques chose à leur dire c’est ta dernière chance Je fais un oui de la tête ma voix était tellement noué je ne pouvait pas placer un mot. Mon oncle va vers sa femme Éliane pour prendre les enveloppes d’argent que les invitées avait donner. Elle c’était poser directement devant la table des enveloppes pour ne pas perdre de vue l’argent sous le regard indigner de ma grand-mère et celui de plusieurs de nos voisins. Eliane : Mais tu va où avec l’argent. Dépose ça ici je vais garder Joseph : Tu veux que je te gifle devant tout le monde ici ? Ma grand-mère Amandine calme mon oncle qui n’avait qu’une seul envie en finir avec ces funérailles. Amandine : Joseph pardon calme toi elle veut mettre la honte sur nous vas-y occupe toi de la petite. Mon oncle prend les enveloppes et me les poses dans la main il m’accompagne dans la chambre. Me voilà pour la première fois devant des cadavres. Cela faisait 1 mois que je n’avais pas vue maman et papa. Les voilà coucher sans vie sur ce lit. Je laisse tomber les enveloppes et je cours me blottir dans les bras de maman comme une gamine de 5 ans. Mes larmes coulent mais pas de caresse de papa pour les sécher, son corps était froid, pas de geste tendre comme dans son habitude, pas de bisous. Je ne voulais pas le croire cette maman et ce papa si câlins qui n’avaient que des bisous pour nous ne vont même pas ouvrir les yeux pour me regarder. Qu’est ce que je n’ai pas promis le jour là pour qu’ils se réveillent mais rien. Ils étaient là sans rien dire, sans rien faire maintenant c’était clair pour moi aussi ma mère et mon père sont parties. J’éclate en sanglots pendant que j’avais la tête sur la poitrine de ma mère pleurant de chaude larme j’entends mon oncle crier Joseph : Éliane tu fais quoi ici ? Eliane: Regarde ce que cette fille fait elle laisse l’argent au sol avec la porte grande ouverte et si quelqu’un vol tout ça Eliane était en train de ramasser les enveloppes que j’avais laisser tomber. Joseph a failli pété les plombs si Lucie la sœur de mon père n’était pas intervenu on aurait eu 3 morts sur le bras. Mon oncle la sort de la chambre en la traînant par les cheveux. Ce petit moment d’interruption m’importait peu je ne voulais que mes parents. J’avais tellement pleurer que j’avais perdu ma voix. Vers 13 heures la porte s’ouvre à nouveau et je comprend que c’était la dernière fois que je les revoyais. Le photographe prend une dernière photo d’eux et mon oncle me fait sortir de la chambre. Grand-mère Amandine est rester seul pendant 25 minutes dans la chambre. Au bout d’un temps elle éclate en larme. IL est 15 heures et les cercueils sont apprêter pour leur dernier voyage. On arrivent au cimetière et voilà que je vois leur corps enfermer dans ces cercueils disparaître peu a peu dans ces 2 grand trou je ne sais pas ce qui m’a pris je voulais les arrêter mon oncle Rodrigue m’empêche et me dit calme toi. Comment me calmer si je voyais et je savais qu’ils allaient refermer la tombe sur eux. Je ne vais plus rien voir, rien entendre petit a petit je perds mes sens, le sol sous mes pieds avait disparu. Je ne sais pas comment mais j’avais survécu à cette maudite journée. La nuit je n’avais pas fermer les yeux je n’ai fait que pleurer. Le lendemain matin sans voix je suis assise au côté de mes oncles et d’Amandine qui me donnent 30 des 40 enveloppes cotiser pendant les funérailles. Joseph: Prend cet argent c’est pour toi et ton petit frère je n’ai pas ouvert les enveloppes parce qu’ils sont a vous c’est la coutume. Nia: D’accord tonton mais tu n’as pas encore payer les frais Joseph : Ça c’est pas ton problème c’est a moi de m’en occuper. Bon c’est a toi de savoir où garder ces enveloppes c’est l’argent de ta mère. Prends en bien soin. Joseph se lève en voulant mettre ces sandales il entend Éliane me dire Eliane : Donne je vais garder pour toi. Joseph: Je vais te blesser ne me pousse pas à bout. Toi va déposer l’argent dans ta chambre. Puis tu va dans la chambre de tes parents c’est maintenant ta chambre Eliane: Non je voulais cette chambre pour Monique et Sonia IL a suffit d’un seul regard de Joseph pour faire taire Éliane. Je vais arranger mes affaires et j’aménage dans la chambre de mes parents avec l’aide de ma grand-mère. Je commence à sortir les habits de ma mère et mon père pour les lavées. Cela avait duré un peu mais j’y suis arrivée. Une fois bien laver et repasser je les mets bien ranger dans une grosse valise et je les dépose a côté de l’armoire. Le soir je suis aller chercher mon petit frère chez la sœur de maman. A mon retour je vais au marché acheter des condiments pour mon stand. De retour à la maison je remarque que ma chambre avait été fouiller j’en parle à Joseph qui remets les pendules à l’heure dans la maison. ‘’’Nia’’ 2 ans plus tard…. Je me présente je m’appelle Nia Céli Yolande Mensah j’ai 18 ans ma vie allait bien jusqu’au jour où mes parents décèdent dans un accident de circulation. D’un point a l’autre je n’ai rien a dire sur mon présent juste que j’espère quitter très vite la maison de famille le plutôt sera le mieux. Pour me financer je vendais du Attiêke et du poisson non loin de la maison. Du haut de mes 18 ans je n’attendais rien de la vie et la vie n’attendait rien de moi. Je retourne à mon Attiêke avec mon petit frère endormi dans mon dos très tard dans cette nuit glacial. Mes clients son monsieur et madame de tout les jours mais aussi des prostituées, des personnes pas fréquentables mais moi je m’en foutais ce commerce me nourrissait moi, ma grand-mère et mon petit frère. Comme dans la coutume après la mort du fils aîné ses biens revenait a ces frères, son fils et ces enfants. Et a première vue mon père ne possédait pas grand-chose. Pour mes oncles il était hors de question de m’envoyer a l’université avec leur argent. A pars la dépendance dans lequel nous vivions avec papa dans la maison de mon grand père nous n’avions rien. Un an après leur morts je me suis retrouvée a vendre du Attiêke pour pouvoir payer l’écolage de mon petit frère. Après avoir compter l’argent des funérailles je décide de les mètrent sur un compte d’épargne pour mon petit frère Cédric moi je me débrouillais. Je m’étais fait construire une grosse cabane derrière les murs de la maison ainsi une autre voisine c’était joint a moi ainsi qu’un jeune homme du quartier eux aussi vendais de la nourriture pour survivre. A l’abris de la pluie du vent et du froid ont se tenait compagnie entre voisins je craignais rien vue que la majeure partie de mes clients étaient souvent des policiers qui venait manger chez moi où boire du café chez mon voisin Stéphane. Les policiers nous avait surnommé les 2 vendeuses et le pédé faisant références a l’homosexualité de notre voisin Stéphane encore surnommé Stéphanie. Ce dernier ne s’en cachait pas et les habitants du quartier le laissait tranquille car malgré l’homophobie qui régnait dans leur cœur Stéphane était le seul qui possédait une petite voiture. Ci quelqu’un tombe malade la nuit c’est avec sa voiture qu'il envoyais a l’hôpital. L'hôpital était loin trop loin pour ce permettre de l’insulter ou de lui faire un mal quel qu’il soit. La dernière fois où certains jeunes du quartier avait agresser Stéphane il est rester hospitalisé pendant 6 jours. Dans la même semaine un petit garçon est tomber très malade dans le quartier il y avait un monsieur qui possèdes une moto mais transporter un enfant malade a moto n’était pas facile car sur le chemin qui menait au CHU ils ont eu un accident grave l’enfant est mort. Bien sûr nous avons un chauffeur de taxi dans le quartier mais il a déménagés après avoir aider 3 personnes. Pour ne plus avoir a aidé qui que se soit, le chauffeur de taxi a préféré partir en douceur. Et Stephan lui aussi ne se sentait plus responsable de quiconque. Tout le monde a très vite compris que la gentillesse du jeune homme avait des limites il avait décider de vendre sa petite voiture pour se trouver un studio loin de chez nous. C’était mon père et quelques hommes du quartier qui sont aller le voir pour s’excuser depuis ce jour plus personne ne le regarde de travers. Après une longue soirée de travail je rentre a 5 heure du matin toute épuiser avec ma grand-mère et mon petit frère sur le dos. Nous ne traînons pas trop dehors en plus c’est Dimanche je devais aller me coucher pour pouvoir me réveiller très tôt je devais aller faire le marché. Vers 13 heures je me réveille je vais prendre une douche et je cour faire mon marcher a mon retour je vois Sonia qui était entrain de s’amouracher avec le fils du voisin je fais comme ci je ne les avais pas vu et je passe mon chemin. Sonia était ma cousine elle était un peu plus âgée que moi. Si moi je suis passer à côté son père lui ne l’a pas rater mon oncle les a surpris et a battue sa fille. Alors que je m’apprêtais à partir Monique la grande sœur de Sonia vient m’aborder et vue son visage elle n’était pas venue pour jouer. Monique : Tu savais que papa était derrière toi mais tu est passée sans prévenir Sonia pourquoi tu a fait ça dit moi Nia Nia : Vous 2 vous m’avez interdit de me mêler de votre vie donc je me tiens loin de vous c’est tout où est le problème Monique: Va la bas jalouse tu voulais que papa les surprend pour nous voler notre place c’est ça tu a mentis tu as mentis. Nia : Vous voler quoi Monique ? Monique : Notre héritage, ton père est mort je ne sais pas ce que tu fais dans cette maison tu attends que mon père meurt aussi pour prendre la maison familiale mais cela ne va pas arriver. Nia : Tu est pitoyable Monique cette maison appartient à tout le monde donc sortez de vos rêves toi et ta mère. Tout d’un coup je vois cette idiote avancée son pied vers la grande bassine remplie de poisson frit pour mon Attiêke cette fille voulais tout renverser au sol j’ai attrapée son pied de justesse en colère je la corrige correctement de vrai mal éduquer. Le lendemain matin a mon retour du travail c’est la femme de mon oncle Rodrigue qui vient me réveiller mes oncles voulais me parler je regarde la montre il était 9 heures je venais tout juste de déposer mon petit frère a l’école je me lève tout épuisée et ma grand-mère dormais toujours. Nia : Bonjour tonton Joseph Bonjour tonton Rodrigue Joseph : Bonjour tu a bien dormi ? Nia : Oui tonton vous vouliez me voir ? Rodrigue : Que c’est il passer ici hier avec ta grande sœur Nia: Tonton je m’apprêtais à partir quand elle est venue me reprocher de ne pas avoir prévenus Sonia que tonton Joseph arrivait le jour où il l’a surprise avec le fils du voisin. Ont discutent et elle m’accuse de vouloir leurs volées la maison familiale je dénie et tout d’un coup elle essaie de renverser toute la nourriture que j’ai préparer avec le pied je parle de la bassine de poisson je me suis énervée et on s’est battue. Joseph : Mercie Nia va te reposer s’il te plaît. Nia : Tonton cela tombe bien que je vous vois tout les deux ici Rodrigue : Tu veux nous dire quelque chose ? Nia : Oui tonton j’ai décidé de quitter la maison j’ai déjà vu une petite maison pas loin d’ici et pas chère du tout. Joseph : Tu est folle tu quittera cette maison le jour de ton mariage pas avant tu m’as compris ? Nia : Tonton ne le prend pas mal mes parents sont déjà mort je veux pas de problème et vue l’allure que les choses prennent dans la maison je préfère partir avec Cédric tante Éliane et ces filles sont capables de tout moi je peux me défendre mais Cédric est encore trop petit il vient a peine de commencer l’école. Rodrigue : De quoi tu parles je ne comprends rien du tout Nia : Tonton apparemment Tante Éliane pense que je veux volé la maison familiale a tonton Joseph mon père n’avait rien donc Cédric et moi ont ne dispute rien avec quiconque. Ce n’est pas la première fois que cette phrase est lancer a mon égard avant qu’on ne m’accuse de n’importe quel chose je pars c’est mieux. Joseph : Écoute ton père était chez lui ici le pavillon dans lequel tu vit appartient à ton père c’est ton grand père qui lui a donner et cette cour nous appartient tout et si cette folle d’Éliane dit autre chose elle ment. Nia : Tonton je comprends mais s’il vous plaît je veux aller vivre là en plus je ne vais pas la bas seul grand-mère vient avec moi. Dans la journée je serai ici le soir on sera là bas avec la vieille. Rodrigue : Hors de questions maintenant va te coucher. Je les laisse seul et je retourne au pavillon pour dormir mais je me rend vite compte que le sommeil m’avait quitter. Je vais m’apprêter pour me rendre au marché quand tout d’un coup un homme vêtue d’un costume cravate m’aborde devant la maison Avocat: Bonjour jeune mademoiselle j’allais le domicile Mensah Nia: Bonjour ! C’est ici je peux vous aider ? Avocat : Je cherche une certaine Nia Mensah Nia : C’est moi Nia Céli Mensah que puis je faire pour vous ? Avocat: Je suis monsieur maître Hervé Rouant l’avocat de Monsieur Luc Nia : C’est mon père mais il est mort il y’a 2 ans déjà entrer mes oncles pourrons vous éclairer. Avocat : Non dite moi vous avez une pièce d’identité officielle ? Je lui réponds oui en sortant ma carte d’identité de mon porte monnaie et en lui montrant… IL affiche aussitôt un grand sourire enfin cri l’avocat cela fait 1 ans que vos oncles me tourne en boucle ! Je ne comprends rien il me demande de le suivre. J’hésite mais je m’y résigne. Nous allons dans un restaurant tout juste à côté et l’avocat me livre le tableau du vrai visage de mes oncles. Avocat : Mademoiselle Monsieur votre père vous a laisser un héritage considérable a vous et à votre petit frère. Vous nommant ainsi comme sa tutrice légales dès l’âge de 18 ans. Cela fait bientôt un an que je fais les aller retour pour faire votre connaissance et a chaque fois vos oncles me disais que vous avez voyager. Qu’ils étaient vos tuteurs légales de ce droit ils me demandaient de leur mettre a ciel découvert le testament de votre père ce que j’ai toujours refuser. Nia : Je n’ai jamais voyager de toute ma vie Avocat: C’est votre voisin monsieur Stéphane qui m’a éclairer sur votre situation de vie ce matin. Mademoiselle je peux vous lire le testament de vos parents ? Nia : Pas ici monsieur l’avocat. Avocat : Non ne vous inquiéter pas venez demain matin dans le bureau du Notaire monsieur Grégoire Truelle pour la lecture du document. Si vous avez du temps on peut y aller ensembles. Nia : Non j’ai un rendez vous que je ne peu pas rater je peu venir vers 14 heures cela vous convient ? Avocat : Oui mais évitez de venir avec vos oncles c’est plus sûr. Nia : Ne vous inquiéter pas pour cela. L’après midi je finis de mettre mon Attiêké au feu je cour suppliée Stéphane de m’emmener voir l’avocat chez ce notaire. Je rentre seul dans le bureau et ce que j’apprends du testament de mon père me laisse sans voix. Je considère tout et je retourne vite a mon stands d’Attiêke avec Stéphane aussi qui préparait son petit coins de café. auteur prisca essie. Mon père ne nous avait pas laisser beaucoup d’argent mais des terrains sur lequel construire qui avait été prise en charge par le service notarial jusqu’à mes 18 ans. Le lundi suivant je me prépare vite Stéphane m’emmène voir chacun de ces terrains. Clôturé et bien entretenu je fond en larme mon père n’avait pas laisser ces enfants sans rien. Stéphane me calme, Stéph: Asso calme toi maintenant tu dois tout faire pour construire avant que tes oncles ne viennent mettre la main dessus. Nia: Même si je travaille et que je vend Attiêké pendant 4 ans même fondation d’un lot je peu pas financer ! Stéph: Commence au moins par économiser sur ton compte ! chapitre2: Nous reprenons le chemin de la maison. Sombré dans mes pensés je ne pouvait pas croire que mon père nous avait laisser de quoi sortir des problèmes. Je me garde d’en parler à Amandine je connais ma grand-mère elle risque de réprimander mes oncles et je ne saurais comment défendre tout ces biens. Je pars mettre les documents dans un coffre à la banque et je retourne à la maison finir de cuisiner mon Attiêké. Donc c’était pour cela que mes oncles voulais me garder dans la maison familiale. Selon nos coutumes les biens de mon père revenait aux hommes de la famille se qui voulais dire a mon petit frère. Mes oncles nous aurait tout pris en prétextant vouloir protéger les intérêts de Cédric jusqu’à sa majorité en bref mon petit frère et moi pouvions faire une croix sur tout cela. C’était maintenant clair que je ne pouvait pas déménager l’argent d’un studio représente 50 paquets de ciment. Je vais me tuer a la tâche je suis devenue une machine je cuisinait Attiêké sur Attiêké. Un soir alors que je somnolait devant mon stand 3 voitures de Luxe viennent s’arrêter devant nous. Un groupe d’homme en costume cravate bien parfumer accompagner de leur femme se dirigent vers nous. L’un d’eux commande pour un total de 300 milles francs. Je finis la commande et je reçois l’argent. Pendant qu’il démarrait la voiture je remarque qu’il y avait 50 milles francs de trop je fais signe a l’un des conducteurs qui descend la vitre du véhicule et je lui remets les 50 milles. Nia : Monsieur il y’a 50 milles de trop Inconnu : Garde le c’est pour toi. IL remonte la vitre et ils s’en vont me laissant sans voix les riches donne 50 milles a quelqu’un comme ça juste a volonté ? Au moins ils avaient fini la moitié de la bassine. Je n’avais pas vue le regard de Stéphane qui affichait un grand sourire. Notre autres compagnes de galère la vendeuse de brochettes de porc grillé l’avais remarquer. Voisine : Stéphane tu rit comme ça pourquoi ? Steph : Vous ne connaissez pas ce monsieur ? Nia: Stéphane toi tu connais tout le monde a ce rythme tu commences par me faire peur mon frère. Voisine : En tout cas moi je suis fan de toi Stéphane. Steph : Je suis affairez c’est tout mes chéries le monsieur qui t’a donner 50 milles francs de plus c’est le bras droit de Daniel Kouamé lui-même. Voisine : Quel kouamé ? Steph: Le président de RYxon compagnie. Nia prépare toi le gars là ne va plus te lâcher. Nia: Pardon laisse moi ici j’ai assez de problèmes. IL va vouloir quoi d’une simple vendeuse d’Attiêké ? Pardon attend je vais donner a manger au petit ci. 2 heures plus tard une autre grosse voiture vient encore une fois s’arrêter a notre niveau. En regardant bien c’était la même voiture que tout a l’heure un homme différents descends de la voiture et vient vers nous Chauffeur : Bonsoir monsieur kouamé voudrais savoir si vous auriez l’amabilité de le rejoindre demain midi pour déjeuner et parler affaires. Nia : Tchiê chauffeur tu ne t’est pas tromper d’adresse par hasard ici on parle Attiêké pas d’affaires. Chauffeur: Je suis a la bonne adresse mademoiselle ne vous inquiéter pas Nia : De quel genre d’affaire ? Amandine : Hé va dire à ton kouamé et son ministère que moi la grand-mère je refuse au-revoir chauffeur. Discussions close fin du dossier le chauffeur s’en va en même temps ma grand-mère me mets en garde. Amandine : Je ne veux pas voir tes pieds là bas… M’a tu comprise ? Les jours vont passer et je ne déconcentre pas entre l’école de mon petit frère et mon commerce j’avais même failli oublier l’anniversaire de Cédric. Je ne savais pas quoi lui acheter donc je l’emmène au glacier accompagner de Stéphane j’offre une belle journée au petit maman ne jouait pas avec son anniversaire je voulais qu’il ne manque de rien. Je ne sais pas pourquoi tant qu’il était heureux j’étais contente. Pendant que le petit dégustait sa glace Stéphane sort un nouveau téléphone ce qui m’étonne café au lait ne peu pas acheter un téléphone pareille Nia: Stéphane toi tu me fais peur chaud même je te dis Steph : Et pourquoi cela je suis pas au parfum dit moi. Nia: Tu sors le téléphone là d’où encore? Humm toi la Steph: Ma chérie c’est mon nouveau compteur qui a envoyé Nia : Han en tout cas tu fais du sérieux avec lui ? Steph : Dans Abidjan on peu pas faire sérieux dans ma catégorie ma chérie faut pas rêver. Nia : Pourquoi pas ? Relation c’est relation mon frère Stéph: Ça se voit que tu est vert derrière les oreilles. Écoute c’est pas tout le monde qui acceptent ma féminité. Nia : Stéphane tant que toi-même tu est heureux avec ta vie les autres on s’en fou d’eux Steph: Ont peu pas s’en foutre ma chérie car ils peuvent me tuer a tout moment. Je vit risquer et mes sponsors aussi. Nia : Tu a dit tes sponsors ? Attend ils sont combien ? Stéph : 4 seulement mais bon je suis tranquille ils son marier avec femme et enfant chacun dans son chacun sans bruit ! Nia : Tu n’est pas sérieux tu peu pas prendre mari d’autrui ! Steph : C’est autrui qui connait pas son conjoint qui doit se plaindre je n’ai draguer personnes en premier en tout cas. Pendant qu’ont discutait une personne vient vers moi c’est le chauffeur de ce monsieur kouamé a nouveau il me donne la carte de son patron je le mets dans mon portefeuille désintéresser ma grand-mère avait été clair avec moi et je voulais pas la décevoir. Cédric qui était encore sous le choc de la mort de notre mère avait déjà commencer à m’appeler maman le pédiatre m’avait dit que ce n’était pas grave qu’il projetait son amour sur moi qu’il fallait lui laisser du temps. Stéphane et moi allons offrir une belle journée au petit garçon. Le soir coucher dans mon lit je me posais des questions sur mon avenir comment est ce que je vais faire pour élever Cédric plus les jours passent plus il pousse et plus il coûte chère. Je peu encore géré mais bientôt cela va se compliquer. Et moi je n’attendais pas grand-chose. J’avais a ma charge ma grand-mère, Cédric sans compter mes oncles qui ont commencer à me voir comme une banque. Nous voilà à la place habituelle 3 jours plus tard pour vendre quand un représentant de la mairie vient nous voir en nous donnant un avis de céder. Nous avions plus le droit de vendre en bordure de route une nouvelle qui a failli me tuer je vais aller où ? Stéphane décide d’aller à la mairie pour en savoir plus. A son retour la voisine et moi ont tournais comme des lions en cage dès qu’il descends de la voiture on cour vers lui mais il nous confirme la décision de la mairie. J’étais effondré on avait jusqu’à la fin du mois pour débarrasser le plancher. Je voulais me faire autant d’argent que possible je n’ai pas vue le mois passer le dernier chargement d’Attiêké a été la meilleur.

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