Paradoxe

Paradoxe

Basile E.M. Kouton

Préface

La vie n’est pas rose à tous les coups. Elle est juste meilleure quand on est bien entouré, et quand on se sent aimer. Surement tu apprécies lire sinon tu n’aurais pas le temps de me lire. L’espoir est une grande chose que tu dois nourrir, d’ailleurs c’est la seule chose que dois nourrir de temps en temps ne l’oublie pas. On m’appelle Kem issu d’une famille polygame et modeste en plus. J’ai père pas comme les autres. Ma mère est la deuxième épouse, mais je suis son premier garçon. Ma grande marâtre a une fille du prénom de Marlène, oups j’oubliais mon père a une troisième épouse et sa première fille s’appelle Gloria. On a tous des frères et sœurs nous les premiers gosses de nos mère sauf Marlène qui est resté la seule fille a sa mère. Marlène n’a que trois mois de plus que moi pour que je l’appelle dada, et moi j’ai un an trois mois de plus que Gloria. Marlène et moi avions débuté l’école ensemble. J’ai grandi avec Marlène. Ces proches comme l’appelions Marlo.

Notre histoire ne fait que commencer. Attention mes frères et sœurs ne faites pas tout de combine avec vos propres sœurs et frères surtout vous devenez majeur, mature et sexy tout ce que vous voulez, faites gaffe vous risquez d’en tomber amoureux. J’en suis l’exemple.

Tout à commencer ici au cours secondaire, le mal ou le bien c’est qu’on est dans la même classe. Je suis à ma place quand elle est venu ;

Elle : Kem t’es là !

Moi : Oui, en chaîne et en or.

Elle : Sais-tu que les journées culturelles s’approchent ?

Moi : Non ! C’est pour quand ?

Elle : La semaine prochaine.

Moi : Maintenant tu veux que nous fassions quoi ?

Elle : Juste… (Interrompu)

Elle n’a pas eu le temps de finir la phrase et notre prof est venu. C’est après le cours quand elle voulait fini ce qu’on disait mais moi je suis parti a la maison déjà. Le soir après le repas tout énerver et avec une voix m’appel de venir dans sa chambre ensuite elle part. Avant que je ne le rejoigne elle était déjà en slip en face de son miroir. Une dans sa chambre, elle se retourna vers moi ;

Moi : Oh seigneur ! Jésus Marie Joseph, jamais je n’avais su qu’elle était si balaise. (Dis-je intérieurement.)

Elle : Je voulais qu’on n’interprète un son d’amour tous les deux, frère chéri.

Moi : Moi !!! D’accord quel son ? (Dis-je le visage souriant.)

Elle : Je ne sais pas. Quel son est au mode actuellement. De grâce frère épargne-moi les locaux, je veux des morceaux américains.

Moi : Attend, prenons mon ordinateur et cherchons alors.

Et à notre grande surprise on découvre 50cent ft Nelly sur le titre « Dillema » tous le temps passé avec Marlo, je ne fais que regarder son corps. Je voulais lui dit comme on n’a un son donc moi je me tir, elle mit sa main sur ma bouche, ferme sa porte, éteint la lumière, je veux bien la grondé et elle me pousse sur son lit.

Elle : Chrrr frère !!!

Ma sœur a presque me mettre en érection, sa poitrine contre moi, ces têtons est juste à un centime de ma bouche a présent et me voilà remplir de peur et de la romance dans le sang. Elle se couche sur moi à peine pour me bécoté quand soudain on entend ;

Ko ! Ko ! Ko !

Rapidement elle se ressaisit et prend un pagne pour la roulé et moi je m’occupe de mon ordinateur. Et ensemble on a répondu ;

C’est qui ?

Maman Marlo : C’est moi chérie, qui est là avec toi ?

Prise de peur, elle dit ;

Elle : Oups ! Non c’est mon frère. (En ouvrant la porte.)

Maman Marlo : Euh… Kem c’est toi ?

Moi : Oui maman.

Maman Marlo : Qui est ta mère salopard, ta mère est au salon, maintenant que fais-tu ici seul avec ma fille ?

Elle : Rien de spéci… (Interrompu)

Maman Marlo : Toi tais-toi, c’est à toi je parle ?

Elle : Ont n’étaient just… (Interrompu)

Maman Marlo : Tu continues de parler, tais-toi ! (En la giflant), et toi sort d’ici.

En train de prendre mon ordinateur quand elle vient me pousser pour faire pression et je cogne le visage au mur et mon ordinateur tomba. J’entendais Marlo, elle pleurait de toutes ces forces. Tout à finir à l’hôpital. Sur le lit d’hôpital où je suis allongé, se trouve ma mère et Marlo en train de parler ;

Maman Kem : Ma fille, ça va aller ne pleure plus.

Elle : Oups ! D’accord mère merci de ne pas se fâcher contre moi, c’est de ma faute si Kem est dans cet état ci…(Interrompu)

Maman Kem : Non c’est la faute à personne, c’est juste un incident, dis-moi ce qui sait passer.

Elles : Ont étaient ensemble dans ma chambre et ma mère est venu le pousser et il a cogné la tête contre le mur ! (Dit-elle et fond en pleure.)

Maman Kem : Viens dans mes bras chérie ne pleure plus.

Elle était dans les bras de ma mère et sa mère surgit de nulle part;

Maman Marlo : Qu’est-ce que je vois, tu fou quoi dans ces bras ? Viens par ici espèce de con ! (En tirant sa fille avec force.)

Maman Kem : Je sais, tu ne m’aime pas. C’est à moi tu dois faire du mal et non à mon fils.

Maman Marlo : Je n’ai pas ton temps, au réveil dis à ton fils de chienne de ne plus s’approcher de ma fille. (Dit-elle en sortant de la salle.)

Maman Kem : Dieu, je sais que tu es au contrôle ! (Dit-elle tête baissé les larmes dans les yeux.)

Maman pleurait et ma petite Gloria, sa maman et mon père entre dans la salle, rapidement ma mère essuie son visage comme si tout est au bon train.

À suivre...

Bientôt chapitre 2