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Une vie pour une vie

Une vie pour une vie

Mamameiko

4.9
avis
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Miran est une chirurgienne aux urgence, qui est très habile, mais elle est aussi une médecin qui sait parfaitement se battre. En mettant au sol plusieurs membres d'un gang, elle attire l'attention de quelqu'un. Après sa garde, elle quitte les urgences mais une silhouette noire l'arrête et lui demande de l'aide... Elle accepte mais n'imagine pas à quel point cette décision va lui changer la vie... Que se passe-t-il quand une chirurgienne au caractère bien trempé rencontre la mafia la plus dangereuse de la Corée du Sud ?

Capítulo 1 Chapitre 1 : Rencontre dans l'obscurité

🚨Bonjour à tous ! Cette histoire est fictive et j'utilise juste l'apparence des membres de BTS. Ils sont en aucuns cas comme ça dans la vraie vie ! J'ajoute aussi que cette histoire est sur la mafia, ce qui veut dire qu'il y aura du sang, des violences, de potentiels viols, du sexe et autres choses qui pourraient heurté la sensibilité de chacun... Cette histoire est mature et ne convient pas à tout le monde !🚨 Merci de votre compréhension !

Les nuits à Séoul sont illuminée par les lumières artificielles des bâtiments. C'est une ville qui dort jamais. Il y a toujours des personnes dehors ou qui travaillent encore dans les bureaux ou ailleurs. Un peu plus loin... Dans l'hôpital universitaire de Séoul, les urgences battaient leur plein. Les blouses blanches volaient derrière les pas pressés du personnel soignant.

Infirmier : Docteur Kim !! On a une urgence ! Une blessure par balle au niveau du bas de l'abdomen et une fracture ouverte du tibia gauche !

Docteur Kim : Préparez le bloc opératoire numéro 2 !

La jeune docteur suivit le lit qui roulait déjà vers la salle opératoire. Elle enfila son matériel de chirurgienne puis commença ses rituels de désinfection des mains et des poignets. Une fois fait, elle entra dans le bloc où le nouveau patient était déjà plongé dans un profond sommeil. On lui mit des gants puis elle s'avança.

Infirmier : Une blessure par balle. Elle n'a pas perforé le rein mais elle est dans une position un peu délicate. La fracture ouverte est propre. Il faut juste replacé l'os.

Docteur Kim : Très bien. On va commencer l'opération. Scalpel.

L'opération commença doucement. Elle ouvrit le ventre de l'homme puis donna le scalpel pour prendre une pince. Elle était concentrée et très précise dans ses gestes en plus d'un calme à toute épreuve.

Infirmière : C'est peut être un mafieux que l'on sauve.

Docteur Kim : Peu importe. Pour l'instant, on sauve juste un patient. Sa vie nous concerne pas pour le moment. Ah, trouvé ma belle.

Elle attrapa doucement la balle et la délogea avec douceur puis elle la posa dans un petit couvercle en verre. Elle échangea de nouveau avec d'autres instruments et elle fit quelques points de sutures avec précision. Elle alla voir la fracture ouverte et siffla.

Docteur Kim : J'avoue que cette fracture est très belle. On remet l'os ? Maintenez-le. A trois. Trois, deux, un !

Elle poussa sur l'os et le remit en place avec l'aide de l'infirmier et d'une infirmière. Le patient grogna un peu mais l'anesthésiant faisait parfaitement son travail. Elle nettoya le trou qu'avait fait l'os cassé puis elle quitta la salle, laissant le reste de l'équipe finir. Elle enleva tout son attirail puis je jeta dans une poubelle jaune, qui servait pour les déchets infectieux. Elle soupira et mit ses mains dans ses poches de sa tenue de bloc opératoire couleur violet.

C'était la seule médecin qui avait cette couleur, ce qui attirait souvent les regards curieux. Alors qu'elle alla donner la fiche de l'opération à l'accueil des urgences, elle vit plusieurs hommes habillés en costard noir et basique. Elle fronça des sourcils puis posa son support sur la grande accueil. L'une des aides-soignantes derrière l'accueil sursauta.

AS : Docteur Kim ! Alors ?

Docteur Kim : Il est en vie pour le moment.

A ce moment, l'un des hommes s'approcha d'elles. L'aide-soignante se mit à trembler tandis que la docteur était complètement de marbre. L'homme était dans la trentaine et quelques poils se battaient en duel pour former une moustache. Elle le regarda de haut en bas avant de relever un sourcil, sans aucun sourire. Elle n'avait pas pour habitude de sourire.

Docteur Kim : Je peux vous aider ?

Homme : T'es la médecin qui a opéré mon ami ? Il s'est prit une balle.

Elle se mit complètement en face de lui puis s'écarta de l'accueil.

Docteur Kim : Pourquoi ?

Homme : Réponds !

Docteur Kim : Quand on est poli, on dit s'il vous plait et vouvoyez moi. On se connait pas.

Homme : Connasse !! Réponds juste !

Elle fronça encore plus des sourcils et lança un regard noir à l'homme. Il ressentit un frisson. Ce regard, c'était pas le regard de quelqu'un qui vit dans un monde normal... Il s'énerva et commença à balancer son poing vers la docteur mais elle leva sa main puis lui fit une prise avec beaucoup de facilité. Il se retrouva au sol, la respiration coupée. Les autres hommes se levèrent d'un seul homme et foncèrent vers celle-ci mais, quelques minutes plus tard, ils étaient tous au sol, gémissant. Elle attrapa le bras de l'homme, qui avait commencer, toujours avec un visage neutre.

Docteur Kim : Règle n°1 : On agresse pas le personnel soignant.

Elle tira un peu sur le poignet qu'elle avait dans sa main et l'homme lâcha un gémissement.

Docteur Kim : Règle n°2 : Il faut être poli pour éviter les situations désagréables.

Le personnel et les patients conscients ou les personnes qui les accompagnaient était simplement surpris et choqué par l'attitude de l'homme et la force de la docteur.

Homme : J'ai compris ! Lâchez moi !

La docteur souffla. Elle retourna à une consultation sous les yeux d'une personne qui l'avait observé depuis la nuit de la ville, un sourire sur les lèvres. Vers 6 heures du matin, la docteur salua ses collègues et quitta les urgences dans sa tenue de ville.

La nuit et le vent froid de l'hiver lui mordit violemment sa peau, la réveillant de sa garde de 24 heures qu'elle venait de finir. Elle souffla puis commença à marcher vers sa voiture, ayant hâte de rentrer chez elle pour dormir son quota de sommeil. Elle appuya sur le bouton d'ouverture de sa voiture et celle-ci alluma ses feux de détresse, montrant sa présence sur le parking relativement plein de voitures.

Alors qu'elle était qu'à quelques pas de sa voiture, elle sentit un regard et une présence prêt d'elle.

Docteur Kim : Qu'es que vous me voulez ?

A suivre...

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