Partir pour trouver du boulots pour subvenir au besoin de sa famille elle fini par rencontrer amour de manière inattendue.
Ce matin-là, Lynes s'était levée très tôt a pris son petit déjeuné et s'était préparée pour se rendre à son entretien d'embauches dans une société de la place.
KAMA & FILS est une entreprise d'import-export qui vient d'ouvrir ses portes dans la ville.
Lyne DALINA SYLO jeune fille de vingt-six ans a eu son diplôme en assistance de direction.
Depuis la mort de leur parents dans un accident de voiture, Lyne s'occupe, de son petit frère Jen vingt qui ans a réussi à avoir une bouse en médecine et est en deuxième année et de Mayé sa petite sœur de vingt-trois ans qui fait ces études en droit dans une université de la place.
−Tu n'es pas prête Lynes? Tu seras en retard pour ton entretient lui cria Mayé.
Oui c'est bon j'ai presque fini.
Elle rassembla les documents dont elle aura besoin pour son entretien, dit au revoir à ses frères et s'en alla dans l'espoir d'être embauché et la peur d'être refusé.
Une heure plus tard son taxi gara devant l'entreprise KAMA&FILS.
Elle paya arrangea sa coiffure et fit son entrée dans le hall spacieux de l'entreprise, puis s'assis sur les sièges qui leur était destinés.
Il y avait près de vingt personnes avant son arrivée.
Elle se mit à penser,
Quel monde? Et dire qu'ils ne veulent que cinq personnes.
Oh ! Mon Dieu faites que je sois parmi ces cinq.
Quelques minutes plus tard elle fit interrompu dans ses pensées et fut appelée par mademoiselle JOHN chargé de l'accueille.
−Mademoiselle SYLO ?
−Oui madame.
−Monsieur KAMA est prêt à vous recevoir ; mais avant vous devez signer cette fiche sil vous plais.
Elle signa la fiche et mademoiselle JOHN lui indiqua le chemin et lui souhaita bonne chance.
Lynes traversa le couloir qui se dresse devant elle.
Arriver devant la porte elle tapa d'un coup ; une voix rauque et mielleuse lui répondit. Dès quelle ouvrit la porte et se trouva en face du charmant et irrésistible KAMA, son cœur se mit à battre très fort quelle ne comprenait même plus se qui lui arrivait.
Oh ! Mon Dieu me voici enfin devant le célèbre Charles KAMA, quelle beauté?
Quelle femme lui résisterait? Aussitôt elle se reprit dès que Charles lui parla.
− Veuillez-vous assoir mademoiselle SYLO !
−Merci monsieur.
Alors comme sa vous faites partie de nos postulants? Dites-moi Pourquoi voulez-vous cet emploi.
−Parce que monsieur je sais que je suis qualifié pour ce travail, je rempli parfaitement toutes les conditions que vous imposez, j'ai même fait assez de stages et quelques emplois parallèle.
Monsieur il me faut ce travail j'en ai besoin la sureté et la survie de ma famille en dépende.
−Demoiselle Lynes nous avons beaucoup de candidats comme vous le constatez et nous ne pouvons pas vous faire de faveur tout simplement parce que vous avez tenu un discours sensible, vous rendez vous compte ?
−Oui monsieur, mais ce n'est pas un discours.
Vous vous avez toujours eu une vie facile, vos parents sont riches vous n'avez jamais connu ce qu'est la pauvreté, ne pas manger à sa fin, voir vos parents souffrir parce qu'ils ne peuvent pas vous offrir la vie que vous méritez et comme si ce n'était pas assez douloureux, le destin vous les arraches et vous laisse ainsi toute seule avec deux adolescents sous les bras ça c'est difficile et ça c'est un discours.
−Je suis vraiment désolé mademoiselle, je ne voulais pas vous rappeler des choses qui vous font mal je suis vraiment désolé.
−Non c'est moi qui suit désolé de vous importuner avec mon histoire, je suis sincèrement désolé excuser moi vraiment.
−Non ce n'est pas de votre faute. Si vous voulez on oublie toute cette histoire d'accord ?
−D'accord monsieur.
Après quelques minutes de discutions et après avoir parcouru en revue tout le contrat, Charles la raccompagna à la porte.
−Vous passerez à l'accueille pour que l'on vous renseigne sur la datte d'affichage du résultat de l'entrevu afin que vous puissiez être au courant des personnes qui seront retenues.
−Merci pour tout monsieur.
−Appelez-moi Charles !ce fut un plaisir.
Sur ces mots ils se séparaient. Lynes passa par l'accueille et s'informa de la datte, sorti de l'entreprise, prit un taxi et rentra chez elle.
C'était comment ton entretient lui demandait Mayé.
−Bien !tout le monde a été bien aimable avec moi surtout le patron.
−Le patron?
−Quoi ?que vas tu t'imaginer non ?
Charles est mon patron et je ne peux penser à lui c'est insensé.
−Tu trouves ! Mais tes yeux disent le contraire quand tu parles de lui ?
−Non c'est stupide ce serait une relation sans lendemain ; et encore, c'est sur que Charles soit déjà marié.
−Et si ce n'était pas le cas ?
−Il serait mieux que ce soit le cas ; parce que même le contraire n'amènera pas Charles à sortir avec moi parce que je ne suis pas son genre.
−Comment ça tu n'es pas son genre ?
Tous les hommes voudraient sortir avec toi.
−Précisément Charles n'est pas tous les hommes. Il est riche, beau, séduisant, élégant, et en plus il est métisse. Moi je ne suis rien de tous cela.
Et pour tout dire nous ne sommes pas de la même classe sociale.
−Ah non! Ne dit pas sa tu es très belle? Même si on n'a pas d'argent nous vivons quand même à notre aise?
−Oui pour sa tu as raison. Dis tu ne voudrais pas que l'on parle d'autres choses ?
Parle-moi plus tôt de toi, tes études? Depuis que je suis préoccupé par la recherche d'un boulot je ne me suis plus intéressé à vous ?
Elles restaient là à parler toute la soirée durant avant que Jen ne les rejoignes pour le diner.
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