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JUSTE UN PEU DE TENDRESSE

JUSTE UN PEU DE TENDRESSE

nlendmongo

5.0
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Chapitres

Anastasie est une jeune fille mal aimée de son père, décide de lui montrer de quoi elle est capable, et alors elle va mener à bien la mission que lui a confié cet homme redoutable. Pleine de courage, elle débarque sur une petite île Indienne... Mais la vie n'est pas si facile! Elle y retrouvera certainement de la tendresse de son oncle, mais elle s'y heurtera aussi à la froideur et l'arrogance de Mike qui lui proposera un mariage de convenance pour une durée de six mois ! Pour le pire ou.... le meilleur ?

Chapitre 1 JUSTE UN PEU DE TENDRESSE

Un homme l'avait suivi toute la matinée. À plusieurs reprises, elle l'avait surpris derrière elle tandis qu'elle avançait dans les rues D'Avala.

Et là encore, dans le hall de l'hôtel, elle dut se rendre à l'évidence : celui qui venait d'entrer n'était autre que l'inconnu de tout à l'heure.

Comment aurait-elle pu oublier son visage? Le teint clair, le profil imposant, une chevelure noir ne pouvaient passer inaperçus. Comme s'il avait ressenti son regard, l'homme interrompit sa conversation avec l'employé de la réception et se retourna brusquement.

Anastasie reçue en plein visage l'éclat sauvage de son regard d'un brun chaud avec des reflets dorés.

Déjà, l'inconnu S'était détourné et reprenait sa conversation. La jeune fille sentit une bouffée de colère l'envahir. Un Instant, elle fut tentée de s'enfuir. Mais pour aller où ? Jugeant plus prudent d'attendre le départ de l'homme pour demander la clé de sa chambre, elle s'assit dans un coins du hall et entreprit de rédiger des cartes postales qu'elle avait achetés.

Pourquoi se tourmanter? Il lui était déjà arrivé d'être suivie! Mais c'était en France... seule ici, à des milliers de kilomètres de chez elle, l'incident prenait Des proportions différentes. À deux jours de la fameuse vente, personne ne devait connaître la raison de son séjour à Avala. Son père ne lui pardonnerai pas.

Et elle était bien placée pour savoir ce qu'il en coûtait d'encourir sa colère...

Elle abaissa un regard noyé de larmes sur les vies somptueuses de l'île d'Avala.

Son Père avait toujours désiré avoir un fils, tous les efforts d'Anastasie pour se faire accepter par son père se sont soldés par un échec... Or, voilà qu'une ultime chance s'offrait à elle de gagner l'estime paternelle: pour la première fois de sa vie il se reposait entièrement sur elle.

Elle n'allais pas laisser cette chance passée! Renforcée dans sa décision, elle rédigea sa première carte pour sa vieille gourvernante actuellement retirée à Paris.

Pour rien au monde , Elle n'aurait manqué d'envoyer de ses nouvelles à Mme Catherine, depuis la mort de sa mère, c'était la seule personne vers laquelle elle pouvait se tourner. Son père était toujours absorbé par ses affaires...

Lorsqu'elle releva les yeux après avoir terminé sa correspondance, l'individu était parti. Elle demanda aussitôt sa clé et rejoignit sa chambre. A son entrée, elle entendit une voix chaude qui la fit tressaillir.

- Bonjour, Miss Dubois! Pardonnez mon intrusion, mais je désirais vous parler...

Elle fut tentée de s'enfuir précipitamment, mais l'homme s'empressa d'ajouter :

- je sais tout du véritable motif qui vous amène à Avala, Miss Dubois...

La main déjà sur la poignée de la porte, elle hésita avant de se retourner lentement. D'une voix calme, elle murmura:

- Que voulez-vous dire?

Il haussa les épaules.

- Rassurez-vous je ne vous veut aucun mal. Et si vous préférez laisser la porte ouverte, je n'y voit aucun inconvénients...

Dans son français perçait une pointe d'accent étranger. Il était redoutable, cette, pourtant Anastasie se détendit un peu.

- Qui êtes-vous ? Lança t-elle d'une voix plus assurée. Et que savez-vous de moi?

- Je ne me suis pas présenté, en effet. Veuillez m'en excuser, Miss Dubois. Mon nom est Wargen Gilev, et je suis le propriétaire de cet hôtel. Je suis né de père Allemand et de mère française.

Il s'inclina avec une grande courtoisie, et elle ne put s'empêcher de remarquer l'extraordinaire distinction qui émanait de cet homme. Pourtant, sous l'apparente banalité des mots, elle crut déceler une nature impitoyable. Deja il poursuivait:

- Vous êtes icipour acheter l'hôtel Catalina.

La vente a lieu dans deux jours, et votre père vous a envoyé mener la transaction à sa place :

Il désirait rester à l'ombre. Pour ne pas éveiller les soupçons du present propriétaire de l'Hôtel Catalina qui se trouve être votre oncle, il vous a même conseillé de Voyager sous un faux nom.

Anastasie se laissa tomber sur son lit. L'homme qui venait de prononcer ces mots effrayant se tenait à quelques pas d'elle. Bien que son visage fût noyé dans la pénombre, il semblait remplir la pièce de sa seule présence.

- pourquoi me dites-vous ça? bredouill t-elle

- pour bien vous faire comprendre que je n'ignore rien en ce qui vous concerne.

- Et alors?

Elle avait brusquement repris confiance en elle. Toute son enfance, elle avait dût lutter contre la personnalité écrasante de son père sous peine de se laisser submerger. Et cet homme, visiblement était de la même espèce...

- J'ai moi même des vues sur l'Hôtel Catalina.

- Qui vous empêche de l'acquérir? C'est une vente aux enchères, ouverte au public de surquoi.

Elle se leva brusquement.

- si c'est tout ce que vous aviez à me dire, je prierai de partir maintenant Ajouta-t-elle sèchement.

Lorsqu'il se leva à son tour, elle fut impressionné par sa haute taille mais n'en laissa rien paraître. Inutile de lui donner cette satisfaction..

Lorsqu'elle releva les yeux après avoir terminé sa correspondance, l'individu était parti. Elle demanda aussitôt sa clé et rejoignit sa chambre. A son entrée, elle entendit une voix chaude qui la fit tressaillir.

- Bonjour, Miss Dubois! Pardonnez mon intrusion, mais je désirais vous parler...

Elle fut tentée de s'enfuir précipitamment, mais l'homme s'empressa d'ajouter :

- je sais tout du véritable motif qui vous amène à Avala, Miss Dubois...

La main déjà sur la poignée de la porte, elle hésita avant de se retourner lentement. D'une voix calme, elle murmura:

- Que voulez-vous dire?

Il haussa les épaules.

- Rassurez-vous je ne vous veut aucun mal. Et si vous préférez laisser la porte ouverte, je n'y voit aucun inconvénients...

Dans son français perçait une pointe d'accent étranger. Il était redoutable, cette, pourtant Anastasie se détendit un peu.

- Qui êtes-vous ? Lança t-elle d'une voix plus assurée. Et que savez-vous de moi?

- Je ne me suis pas présenté, en effet. Veuillez m'en excuser, Miss Dubois. Mon nom est Wargen Gilev, et je suis le propriétaire de cet hôtel. Je suis né de père Allemand et de mère française.

Il s'inclina avec une grande courtoisie, et elle ne put s'empêcher de remarquer l'extraordinaire distinction qui émanait de cet homme. Pourtant, sous l'apparente banalité des mots, elle crut déceler une nature impitoyable. Deja il poursuivait:

- Vous êtes icipour acheter l'hôtel Catalina.

La vente a lieu dans deux jours, et votre père vous a envoyé mener la transaction à sa place :

Il désirait rester à l'ombre. Pour ne pas éveiller les soupçons du present propriétaire de l'Hôtel Catalina qui se trouve être votre oncle, il vous a même conseillé de Voyager sous un faux nom.

Anastasie se laissa tomber sur son lit. L'homme qui venait de prononcer ces mots effrayant se tenait à quelques pas d'elle. Bien que son visage fût noyé dans la pénombre, il semblait remplir la pièce de sa seule présence.

- pourquoi me dites-vous ça? bredouill t-elle

- pour bien vous faire comprendre que je n'ignore rien en ce qui vous concerne.

- Et alors?

Elle avait brusquement repris confiance en elle. Toute son enfance, elle avait dût lutter contre la personnalité écrasante de son père sous peine de se laisser submerger. Et cet homme, visiblement était de la même espèce...

- J'ai moi même des vues sur l'Hôtel Catalina.

- Qui vous empêche de l'acquérir? C'est une vente aux enchères, ouverte au public de surquoi.

Elle se leva brusquement.

- si c'est tout ce que vous aviez à me dire, je prierai de partir maintenant Ajouta-t-elle sèchement.

Lorsqu'il se leva à son tour, elle fut impressionné par sa haute taille mais n'en laissa rien paraître. Inutile de lui donner cette satisfaction..

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